Genre : fantasy, fantastique, dark fantasy, fantasy urbaine et relation familiale
Parution : le 2 juillet 2020
Page : 157
Résumé :
Plongez dans un monde magique… Adaline est une fée, pas comme dans les contes pour enfants… Même si elle aurait préféré. Elle, elle ne vit que pour venger la mort de sa mère, mais une rencontre va bouleverser sa vie et compliquer ses plans. Ce qui l’attend est bien au delà de ce qu’elle peut imaginer. Elle va se plonger dans le passé et enfin comprendre pourquoi sa mère a quitté un monde paisible et merveilleux, 19ans plus tôt, pour se cacher au milieu des mortels dans un monde gris et remplit de dangers.
Mon avis :
Marine Waguet est une auteure de romans fantasy, fantastique et de science-fiction de 22 ans, originaire du nord de la France. Elle écrit depuis le collège, où une professeur de Français lui à transmis l’amour des livres.
Le Sang des éternels est son premier roman publié, elle a ensuite publié Le Chaos pour l’éden Tome 1 et a déjà un autre projet en cours d’écriture, qui reste pour l’instant un secret bien gardé.
Je remercie l’auteur pour l’envoie de son roman ainsi que pour sa confiance.
J’ai beaucoup aimé cette histoire assez courte je trouve car certains passages sont trop rapides à mon goût du coup et aurait pu être plus développé afin de nous transporter encore plus au sein de l’histoire.
On apprend à connaître l’histoire d’Adaline au sein du monde des mortels mais également dans l’autre monde, on va du coup rencontrer deux personnes totalement différentes je trouve.
On a également le personnage du beau goss Ash, donc on sait déjà d’avance ce qui va se passer à la fin.
On a également Julia, la meilleure amie du monde des mortels qui va également lui arriver des choses et on rencontre plein d’autres personnages qui vont être important pour que Adaline évolue.
L’histoire se porte sur la vengeance De Ada et Ash mais aussi de savoir qui est le père d’Adaline et le secret est gardé vraiment jusqu’à la fin même si j’avais déjà un gros doute dès le départ.
Les chapitres sont assez court, au tout début on a même le passage d’un point de vue de la mere.
L’univers est vraiment bien travaillé et la plume de l’auteur nous transporte facilement. J’ai quand même pas mal rigoler lors de certains passages.
Citation
« Je tente de partir, malheureusement elle me barre la route. –Qu’est-ce qu’il y a, tu ne veux pas t’amuser ? T’es de la garde ou quoi ? Prends-le tu me remercieras tu verras. Je prends mon courage à demain, je ne doit pas nous faire repérer et puis qu’est-ce que ça peut me faire de mal. J’en informerai Ash tout de suite en sortant et il pourra l’interpeller. Je prends la fiole et observe le liquide. –Bois le d’un trait. J’avale le contenu de la fiole d’un trait comme elle me le dit. –Voilà, reviens me voir si t’en veux plus je te ferai un prix. »
« Quatre cents ans après le monde tel que nous le connaissons, les Humains ne sont plus la race supérieure, ni même la seule. Et ils le découvrent lors d’une terrible invasion qui vire aussitôt à l’horreur. Quand ils ne sont pas abattus comme du bétail, ils sont réduits en esclavage par une race perverse et tyrannique. Vine, qui s’est toujours sentie en décalage avec les siens, est emprisonnée à son tour et déportée sur une planète inconnue. Dans sa cellule, elle rencontre un prisonnier différent des autres. Quelle que soit sa race, il la fascine, la respecte et la guide… À ses côtés, elle pourrait bien devoir remettre en question toutes ses certitudes. »
Mon avis :
Elle Séveno est une auteur française, elle adore les histoires d’amour et de magie, elle aime également que les héros de ses romans soient doter de pouvoirs surnaturels. Elle dévore les thrilles et fantasy avant de se passionnée de romance. En 2017, elle écrit « Make me bad » tome 1 et tome 2. En 2018, elle écrit « Restart with Song ».
En 2019, après deux succès en romance ( Make me Bad,Restart with Song ), elle continue d’écrire les histoires d’amour qui la font vibrer ( 6 ans sortie en septembre) et retourne aussi à ses premières amours : le fantastique ( Les Liés en octobre).
Les Editions Cyblog est crée en 2012, les romans de cette édition se décline sous plusieurs genres :
Je remercie la maison d’édition pour l’envoi ainsi que pour leur confiance et l’auteur que je suis pour ses nombreux romans.
Avis T1 :
L’histoire débute par elle et lui, on va savoir le prénom de l’héroïne au premier chapitre mais lui on ne le saura que vers la fin. J’ai beaucoup aimé le fait d’alterner les points de vue entre Vine et lui pour ne pas dévoilé son prénom. J’ai directement accroché avec le personnage de Vine qui a un fort caractère. Entre invasion sur la terre, romance et fantastique j’ai été servi et j’ai vraiment adorer tout se mélange qui va si bien à l’histoire. Je ne m’attendais pas du tout à cette fin même si on avait un doute par moment mais on ne veut pas que ça arrive.
Avis T2
J’ai beaucoup apprécié ma lecture, à voir si pour l’année 2021, je vais pouvoir aller au salon du livres afin de récupérer le tome 2 et de rencontrer l’auteur.
On retrouve le point de vue alterner entre Vine et Allen. Même si Vine a oublier tout son passé et que du coup on a l’impression de retourner dans le premier tome même s’il y a énormément de différence.
Dans le premier tome, on est plus centré sur la Terre et là dans se second tome, on est sur une autre planète.
Vine va apprendre à découvrir son pouvoir, on la retrouve encore plus forte que dans le premier tome.
J’ai adoré me plonger dans cette duologie, ou l’on retrouve de la romance, du fantastique et de la science-fiction.
J’adore aussi la plume de l’auteur qui nous transporte dans tout ses univers, que se soit dans celui la pour de la dystopie, de la romance pour 6 ans et t’atteindre.
Citation tome 1
« -Tu sais qu’ils vont venir te chercher Al’, lança Drick. Qu’est-ce que tu vas faire ? Les buter un à un. Ils seront plus nombreux. Comme à chaque fois, sauf que je m’en sors toujours. Cette fois aussi ? Avec elle ? Tu n’as pas idée de qui elle est. Le leskan eut une grimace. qui que ce soit, elle t’affaiblira, riposta-t-il de mauvaise fois. Elle va vouloir aider les humains, n’oublie pas, ajoute-t-il avec un sourire victorieux. Et… eux te ralentiront »
Citation tome 2
« Il grogna de frustration ce jour là. J’étais pourtant une élève modèle. Je connaissais toutes les attaques, je pouvais les parer et l’atteindre à la mâchoire quand il ne s’y attendait pas. Sauf que mes progrès ne lui suffisaient pas. Il attendait autre chose : mes flammes. Au crochet suivant, son impatience se déversa sur moi. Il bloqua mon poignet, le tordit vers l’arrière, et bientôt tout son corps me plaqua en avant contre le mur le plus proche. J’étais désarmée et à sa merci. -Alkan peut faire tout ce qu’il veut de vous dans cette position. »
1. Pouvez-vous vous présenter en quelques phrases ?
→Je m’appelle Elodie Faiderbe, infirmière et autrice depuis peu. Grande rêveuse, je vis beaucoup dans mon monde peuplée de licornes, de gremlin et de poêles vengeresses. Je suis fan de culture japonaise, d’histoire et de cinéma. J’écris d’ailleurs depuis plusieurs années sur mon blog de cinéma horreur : Le cinéma de Freddy. Otaku et geekette, j’aime l’humour un brin (beaucoup) décalé et les romances qui font battre les cœurs. En revanche il parait que je suis un peu une autrice sadique ^^
2. Comment vous êtes venu votre passion pour l’écriture ?
→Par la lecture surtout. Même quand je ne savais pas lire, ma mère m’achetait des livres pour le bain avec des images. J’étais une enfant et adolescente souvent dans son monde (je le suis encore à vrai dire, lol), toujours à préférer l’imaginaire à la réalité. Du coup, l’écriture est devenue un moyen de canaliser cette imagination et de faire vivre mon univers.
3. L’écriture est-elle votre métier à part entière aujourd’hui ?
→ Non, je suis toujours infirmière. Même si je pouvais avoir la chance d’en vivre un jour, je préfèrerai conserver ce métier car il me permet de me souffler des idées pour mes romans. La nature humaine est la plus belle des inspirations et de ce côté-là, la profession infirmière m’en enrichit chaque jour que cela soit dans les rires ou les larmes. L’un de mes personnages, Trent, est d’ailleurs infirmier. Je lui ai ainsi donné beaucoup de mes anecdotes de mon quotidien et de mon passé d’étudiante.
4. Depuis quand écrivez-vous ?
→ Depuis l’âge de 10 ans lorsque mon père m’a offert une machine à écrire. Comme j’étais très fan de la série de livres Chair de poule, j’ai commencé par de petites nouvelles horrifiques. Ensuite pendant mon adolescence des poèmes plus sombres et un texte plus orienté feel good. Mais ce n’est que depuis l’année dernière que j’ai terminé mon premier roman.
5. Quand écrivez-vous ? Avez-vous un rituel d’écriture, des horaires ?
→ Quand je ne travaille pas, lol. J’ai essayé, mais je suis souvent trop fatiguée pour écrire après le travail. Du coup, j’attends le week-end avec impatience, je me prépare un petit thé dans ma tasse Vila Emilia et je monte dans mes combles. C’est un peu à ma pièce à moi, sa décoration est un croisement entre époque victorienne, steampunk et horreur. Idéal pour se plonger dans l’écriture de mon roman actuel. Pour les horaires, en général j’essaye d’écrire dès le matin un chapitre par jour. Sachant que pour l’historique, un chapitre peut me prendre jusqu’à 7h pour être terminé.
6. Combien de livre avez-vous écrit à ce jour ?
→ Pour le moment La fourmi (duologie), son spin off avec Tessa (one shoot) et trois tomes de Vila Emilia.
7. Combien de livres sont-ils en cours d’écriture ?
→ Un seul, le dernier de Vila Emilia. Il me prend plus de temps que les autres car c’est le dernier donc beaucoup de choses à clôturer et beaucoup de détails. Sans compter que je ne veux pas du tout quitter cet univers et Dorian a disons… des difficultés à me laisser quitter son purgatoire.
8. Comment vous vient l’inspiration ?
→ Majoritairement de mes rêves. Pour l’instant, chaque livre que j’ai écris était un songe à la base, un scénario que j’ai travaillé et modifié afin de m’aider à m’endormir le soir. Je choisis les acteurs, je corrige les répliques, (bon c’est là que je fantasme un peu aussi je l’admets) et le lendemain j’ai une idée. Souvent je la remanie aussi avec l’aide de mon mari.
9. Comment choisissez-vous la couverture de vos romans ?
→ Épaulée par mon éditrice de choc, Patricia, j’essaye de choisir en fonction du thème et de ce que je veux faire ressentir chez le lecteur. Pour La fourmi, je voulais une couverture poétique et aussi un peu mystérieuse pour le passé de Chloé. Le couple mixte me semblait aussi important car je trouve qu’il n’est pas souvent assez représenté en littérature malheureusement.
10. Comment choisissez-vous le(s) thème(s) d’un roman ?
→ Je ne choisis pas vraiment, ce sont mes rêves qui décident ainsi que mes envies du moment. Comme dans la vie, je suis parfois licornes et parfois tueurs en série. Parfois comédie romantique et parfois romance digne d’un épisode d’Hannibal Lecter.
11. De quels livres êtes-vous le plus fière ?
→ Hum, la Fourmi qui rêvait de devenir libellule est spécial car il m’a permis de mettre des mots sur mon vécu à travers celui de Chloé. Je suis fière d’y être arrivée après tant d’années, même si je ne pensais jamais trouver le courage de le faire lire à quelqu’un un jour.
Pourtant de tous, je dirais Vila Emilia. Cette plongée dans la tête de Dorian et d’Emilia me vaut des cauchemars, des longues heures de recherches, des pleurs, des remises en question et beaucoup, beaucoup de doutes mais bon sang ce que je m’amuse à dépasser mes limites ! Et puis c’est une histoire que nous avons construit à deux avec mon mari alors rien que pour cela, oui c’est celui-là dont je suis le plus fière. Bon encore plus lorsque je l’aurais terminé, lol.
12. Faites-vous partis d’une maison d’édition ou êtes-vous en autoédition ?
→ J’ai la chance d’être édité chez Cyplog, une maison d’édition à l’écoute et familiale. L’éditrice Patricia est aux petits soins et très disponible. Elle me laisse une grande liberté dans mes choix, que cela soit pour la couverture ou le titre et surtout, elle me rassure énormément. Je suis vraiment heureuse d’être chez Cyplog et j’ai hâte de rencontrer mes collègues en dédicace.
13. Si vous faites partis d’une maison d’édition, est-ce simple de choisir, comment vous êtes vous décidé ?
→ J’avais postulé à plusieurs maisons d’édition et j’ai reçu plusieurs réponses mais le choix s’est surtout porté sur ma liberté à pouvoir rester maman de mes bébés (titre, couverture…). Avec Cyplog, je savais que cela était possible alors j’ai signé chez eux.
14. Si vous êtes en auto-édition, comment cela se passe-t-il ? (c’est un choix de votre part ou vous souhaiteriez faire partie d’une me)
→ x
15. Avez-vous beaucoup de projet ou c’est au coup par coup ? (par exemple sur l’année/mois)
→ Je note dans un carnet mes projets d’écriture et mes nouvelles idées. En revanche, je ne prévois pas en terme d’agenda, j’écris au fur et à mesure de mes envies, et surtout en fonction de mes réticences à quitter un univers. Pour l’univers de Vila Emilia, j’en ai encore 5 en tête. Pour celui de La fourmi environ 3 mais j’ai aussi de nouvelles histoires qui ne demandent qu’à sortir de ma tête.
16. Envoyez-vous beaucoup de SP ? Comment les déterminez-vous ?
→ Les service presse sont envoyés par Cyplog mais j’envoie aussi de mon côté des exemplaires. Pour La fourmi, j’ai surtout choisi en fonction des goûts des instagrameuses même au sein de la romance en elle-même.
17. Que ressentez-vous à la fin d’un ouvrage ? (sentiment achevé, tristesse ou autre)
→ Cela dépend. Pour la Fourmi, j’ai beaucoup pleuré car je sentais que je clôturais enfin un chapitre de mon histoire personnelle. Pour mon spin off, de l’euphorie et pour Vila Emilia… eh bien je ne l’ai pas encore fini mais je crois que cela va être un mélange de tout ça arrosé au mojito, lol.
18. Lequel de vos personnes vous sentez-vous le plus proche ?
→ Chloé de La fourmi qui rêvait de devenir libellules. Même si elle ne me ressemble pas totalement, je lui ai donné mon vécu, certaines réflexions et quelques-unes de mes répliques. Entre éclats de rire et larmes, elle m’a fait passer de simple fourmi à libellule. Et rien que pour cela, je l’aimerai toute ma vie.
19. Une citation d’un de vos ouvrages ?
→ Je vais en choisir une de La fourmi qui rêvait de devenir libellule, l’une des scènes entre Nao et Chloé qui m’aura fait verser beaucoup de larmes en l’écrivant.
« Ce n’est pas rien, ce que tu as vécu, Chloé. Accepte-le, fais-en ta force, mais jamais une faiblesse. Ça ne le devient que si c’est toi et toi seule qui le décides. Pour le reste, je suis là. Alors, malmène-moi, gueule-moi dessus si ça te fait du bien, envoie-moi chier, jette-moi toutes les poêles du monde à la figure, mais s’il te plaît, ne me ferme plus jamais la porte. Parce que sinon, je serai prêt à la défoncer pour te rejoindre. Et même si on en arrive là et qu’un jour tu ne ressens plus rien, laisse-moi ressentir pour nous deux parce que lui… Il prend ma main pour la presser contre son cœur qui tambourine sous ma paume. — il sera toujours là pour toi. »
Genre : drame, thriller psychologique, suspense, séquestration et enlèvement
Parution : le 19 avril 2017
Page : 399
Résumé :
Imaginez une maison comme n’importe quelle autre. Dedans, une pièce. Dans cette pièce, une armoire. Derrière cette armoire, une porte. Au-delà de cette porte, des escaliers. Et en bas, une cave. Une cave où sont séquestrées quatre filles.Avant, Lilas s’appelait Summer. Elle avait des parents, un frère insupportable, des copines, un petit ami. Elle fera tout pour les retrouver. Car contrairement aux autre filles, elle n’est pas prête à accepter son sort jusqu’à faner et dépérir.
Mon avis :
Natasha Preston est romancière, elle a débuté sur Wattpad. On l’appelle souvent Tash ou Tasha, cela ne la dérange pas. Elle est née en Angleterre le 05/01/1988 et a vécu dans de petites villes et villages à la campagne. Elle est mère de deux petits garçons (2018).
C’est en février 1953 que paraissent les premiers « Livre de Poche », Koenigsmark de Pierre Benoit (le n°1), L’Ingénue libertine de Colette, Les Clefs du royaume d’A.J. Cronin, Pour qui sonne le glas d’Hemingway… Ils valent alors deux francs, soit à peine plus que le prix d’un quotidien, un peu moins que celui d’un magazine. Les débuts de cette nouvelle collection – qui deviendra une nouvelle manière de lire, démocratique et décontractée – sont modestes, et l’accueil du public, réticent : ne « braderait »-on pas la littérature ? Henri Filipacchi, lui, ne doute pas de son bel avenir. Alors, secrétaire général de la Librairie Hachette, il possède une exceptionnelle connaissance du livre et de ses métiers. Par le passé, il a joué un rôle décisif notamment dans le lancement de collections aussi diverses que la « Bibliothèque de la Pléiade » ou la « Série noire ». Assisté d’une équipe restreinte, Henri Filipacchi se lance résolument dans l’aventure du Livre de Poche, dont la société éditrice, la Librairie Générale Française, est installée au 15, boulevard de la Madeleine, dans les lieux mêmes qu’avait habités Marie Duplessis, alias Marguerite Gautier, la « Dame aux camélias ». Réaliste et visionnaire, convaincant et chaleureux, il associe à son projet ses amis éditeurs d’Albin Michel, de Calmann-Lévy, de Grasset et de Gallimard. Détenteurs des plus grands fonds éditoriaux français, ils seront ainsi les « pères fondateurs » du Livre de Poche.
Un roman plus que prenant ! Si je m’étais écouter je l’aurais en une seule journée.
On a tellement envie de savoir la fin que l’on se laisse vite absorbé par l’histoire et l’écriture de l’auteur. J’avais déjà éprouvé le même ressenti lors de ma lecture pour « le week end ».
Par contre, le résumé en dit long sur l’histoire du coup dès le départ nous savons que 4 filles ont été kidnappés par un homme mais ce que l’on ne sait pas c’est tout le fond de l’histoire.
Depuis quand les autres sont là, depuis quand l’homme fait il cela et pourquoi.
J’ai beaucoup aimé le fait d’avoir les diffèrent point de vue, on a celui de Summer, Lewis et Trèfle mais j’aurais bien aimé avoir celui de Iris, Rose et Violette aussi car elles sont aussi importante dans l’histoire.
On apprend le passé de Trèfle, de sa « famille » mais aussi du couple Lewis et Summer, j’avoue que justement avoir des petits passages comme ça bouleverse encore plus l’histoire qu’elle ne l’est déjà.
Malheureusement, je pense que des histoires comme celle ci se déroule en vrai dans la vrai vie et cela me désole pour toutes celle qui peuvent subir ce genre de traumatisme.
Citation
« Les yeux de Violette se sont écarquillés d’horreur quand elle a réalisé que son projet ne se déroulait pas comme prévu. C’est pour ça qu’on aurait dû envisager tous les scénarios possibles! lui ai-je crié dans ma tête. Désormais, nous n’aurions plus la moindre chance de nous approcher de cette clé et il vérifierait chaque fois que la porte était bien fermée. Je me suis collée contre la rampe et j’ai enfoncé mes ongles dans le bois. Qu’est ce que nous allions faire ? J’avais du mal à respirer, j’avais l’impression de me noyer. Les larmes me sont montés aux yeux quand j’ai compris que je ne rentrerais pas à la maison. »
Genre : romance paranormal, fantastique, enquête policière, drame et policier
Parution : le 6 octobre 2020
Page : 222
Résumé :
En débarquant dans le Maine, Asher Cross, un ancien soldat pense avoir trouvé la paix dont il espérait. Mais c’était sans compter sur les étranges rumeurs qui circulent autour de la vieille demeure qu’il occupe, ainsi que cette aura mystérieuse qui erre entre les murs. Il va se retrouver mêlé malgré lui à une sombre enquête datant d’une dizaine d’années. Une disparition inquiétante, une affaire non élucidée et un manoir hanté. Entre le passé, le présent et la réalité, parviendra-t-il à découvrir la vérité ?
Mon avis :
Mélanie Germain est une auteur française, qui a écrit Phénomène mais également Whisperer et the curse
Je remercie l’auteur que je suis depuis longtemps et que j’admire. J’adore suivre l’avancée de ses romans et de les découvrir.
J’ai eu du mal au début de l’histoire, car l’écriture en italique je n’arrivais pas à la lire sur ma liseuse et du coup j’avais du mal à rentrer dans l’histoire puis j’ai commencé à avoir des frissons.
Tout d’abord, on a une histoire avec un point de vue alterné entre Asher et Nessa.
On les découvre, on comprend qui est Nessa et que Asher va tout faire pour l’aider.
On découvre donc le passé de Nessa et comment elle est devenue un fantôme.
J’ai adoré l’enquête que va mener Asher malgré les restrictions et les menaces mais justement c’est ce qui fait que le roman est accrocheur.
Ensuite, on a se côté fantastique du fantôme mais aussi d’autre chose que je ne dirais pas pour éviter de spoile mais auquel j’ai été surprise car je ne m’attendais pas à ça et justement en bien car je ne voulais pas que l’histoire s’arrête comme ça.
C’est un livre qui touche d’un sujet qui me touche particulièrement et surtout dans les romans. C’est quelque chose que peu de personnes osent abordés. Mais il faut en parler car cela peut sauver endorment de monde.
Citation
« Je ne parvenais pas à fermer les yeux. Allongé dans le noir, je ne cessé de ressasser ce que j’avais pu découvrir à propos de la jeune femme. Je n’arrivais pas à me sortir de la tête cette affaire de disparition. Cela ne me regardait en rien et pourtant, je ne pouvais m’empêcher de me sentir concerné. Peut-être parce qu’elle s’était adressé à moi que je prenais cette histoire beaucoup trop à cœur. Je soupirais, sentant la fatigue s’emparer de mon corps. Je me devais de lui transmettre ce que j’avais découvert. Que va-t-il se passer à présent? »
Genre : fantasy, young adult, fantastique, chevaliers, dragons et fée
Parution : le 16 octobre 2020
Page : 201
Résumé :
À l’origine de la création de la Terre d’Adara, six fées avaient été conçues pour protéger ses habitants. Unies, elles étaient invincibles grâce à leur talisman. Mais l’une d’elles, Magda, succomba à l’attrait du pouvoir et du mal, et s’allia avec le seigneur sombre de Tanis. Les autres fées s’inclinèrent devant son talent et les créatures d’Adara se retrouvèrent bien démunies face à l’armée dévastatrice du puissant Aël. Pourtant, la fée de la Terre, Sylvia, prédit que, lorsque l’équilibre entre les pouvoirs serait rompu, une septième créature viendrait rétablir la paix et l’harmonie entre les peuples.
Mon avis :
Susie Norman est passionnée de littérature depuis l’enfance, elle a une préférence pour les grandes sagas fantasy, telles que le Seigneur des anneaux, Games of Thrones, Divergente ou encore Harry Potter. Elle lit également beaucoup de romans policiers, en particulier des auteurs scandinaves comme les Millenium de Stieg Larsson, ou Camilla Lackberg.
Je remercie babelio pour la masse critique du mois de novembre qui m’a fait découvrir se roman. Et merci à la maison d’édition pour le marque page ainsi que la découverte des autres romans.
Beaucoup d’incohérence face à cette lecture et le résumé qui me laissait envisager autre chose pour le roman. Je pensais vraiment à la fin connaître la septième fée mais ce n’est pas le cas. Et on ne rencontre que quelque fee sur les six déjà reconnu. On a également beaucoup de personnage, dont 3 enfants qui partent d’un côté, ensuite on a la fée Magda, Tanis et Ael et ensuite on a aussi les villageois.
Je trouvais que cela tourner un peu en rond, que la fée veut savoir qui est la septième fée et donc en fonction de certain critère et de la prophétie va la chercher et des guerriers vont à la poursuite de toutes les jeunes filles.
Et à la fin, c’est également toujours le cas même s’il y a eu des pertes entre deux. Mais je m’attendais à un peu plus d’action, de point de vue des fées, de leurs pouvoirs ainsi que de leurs histoires.
Et puis de savoir le fin mot de l’histoire pour définir si celle que l’on pense est vraiment la septième fée ou non
Citation
« Voici ton chant Idrasil Celui de tes champs Et de ton peuple indocile Entre les monts et les forêts C’est dans les collines Que les hommes vaillants Ont élu domicile A chaque lever du soleil Idrasil la Fière nous montre ses merveilles Nous louons la beauté de tes paysages Ta grandeur aux multiples visages Les cascades et les rivières Les herbes folles et les pierres Contournant le lac bleu Nous arrivons joyeux Dans les plaines du Bertil Et ses terres fertiles Jusqu’au plateau royal Je te demeurerai fidèle et loyal »
Sandy et plusieurs de ses amies sont invitées à la première d’un nouveau cirque : le cirque de Sang-Rire, le clown. Mais à peine fermée la toile du chapiteau, ils découvrent que leur hôte est un être malfaisant, violent et assoiffé de sang qui les entraîne dans un carnaval des plus lugubres. Commence alors pour Sandy, Judith, Flora, Ted, Léon et tous les autres, une nuit de terreur où chaque attraction est un piège mortel, chaque personnage un monstre capable d’arracher pour s’amuser les doigts d’une jeune fille ou de la dévorer en une bouchée. Qui parviendra à s’échapper du Carnaval de Sang-Rire vivant ? Déconseillé aux âmes sensibles.
Mon avis :
Anthony Lamacchia est un écrivain. Après son bac, il a fait cinq années d’étude supérieure pour être diplômé en 2010 d’une licence de lettres modernes et en 2012 d’un master de recherche en littérature. Chaque année il partage son amour de la littérature avec des collégiens. Il explique en quoi consiste le métier d’écrivain et donne tous les conseils aux jeunes écrivains qui participent ensuite à un atelier d’écriture.
Je remercie l’auteur pour l’envoi de son roman et de sa confiance.
Je voulais lire se roman pour Halloween mais par manque de temps je n’ai pas pu.
Du coup je me suis dis je vais attendre et le lire avant noël car je n’aime pas tout ce qui est lecture de noël et que je préfère la période d’Halloween.
N’aimant pas les clowns, j’avais un peu peur de me lancer. J’ai trouvé que l’histoire allait un peu trop vite à mon goût mais c’est un roman assez court donc c’est compréhensible.
On rencontre tout un tas de personnages qui ont chacun une histoire, par exemple on a deux jumelles, Sandy et des amis, Ted et son chien, des jumeaux et pleins d’autres.
Chacun va avoir une épreuve, qu’ils vont réussir ou non, par contre il ne faut pas être choqué car certains sont tourné vers le sexe.
Il y a beaucoup de mort et de sang.
Et chacun des personnages aura le droit à un manège différent aussi. Et on a qu’une envie savoir s’ils vont s’en sortir.
Citation
« Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Bienvenue ! Venez, venez, Petits et grands, Venez les enfants, Traversez la nuit, Et venez profiter de mon spectacle, Je porte le maquillage qui masque mille visages, Je suis le funambule qui marche sur le fil du temps, La prestidigitation est mon art, Le carnage est dans mes tripes[..] Je ris à la vie, je souris à la mort, On me reconnaît à mon nez rouge sang. »
Genre : heroic fantasy, magie, elfe, créature fantastique et amour
Parution : Le 6 juillet 2020
Page : 386
Résumé :
À la disparition des Avatar, il y a de cela dix mille ans, les Thorderwyn ravagèrent le monde dans une guerre fratricide sans précédent. Alors que la défaite semblait inéluctable, survint l’aide providentielle des Béorlingas. Ces hommes mystérieux, dotés de visions et de dons extraordinaires, scellèrent une alliance singulière afin d’emprisonner les elfes Noirs dans la Vallée Perdue pour les neutraliser à jamais. De cette époque lointaine, il ne reste que des légendes pour les habitants du royaume d’Avalann. Le jeune Darius, fils d’un roi assassiné, hésite à prendre les rênes de la succession. Mais déjà, la paix fragile, acquise vingt ans plus tôt, est menacée. Tous attendent dans l’ombre un faux pas du prince. Une fois couronné, il devra mener une guerre sans pitié contre des forces méconnues et redoutables. Or le destin a déjà œuvré, Darius est né le jour où la Comète a brisé le silence des cieux et ceci est loin d’être le fruit du hasard…
Mon avis :
William Ward (un pseudonyme) écrit des récits dans le domaine de la Fantasy depuis plus de 15 ans. « Le Galadaël » (2019) est son premier roman. Marié, il est père de trois enfants.
Je remercie l’auteur pour sa confiance ainsi que pour l’envoie de son roman.
J’avais un peu peur en le commençant car je pensai que j’allais me perdre donc j’avais pris une feuille afin de me noter les nom des personnages, qui ils sont, etc. Et heureusement que j’ai fait de système, déjà parce que je trouve qu’il y a énormément de personnages, que l’on peux également se perdre au fur et à mesure de l’avancer de l’histoire car on ne sait plus quand cela se situe.
Par moment, j’avais l’impression d’avoir louper quelque passage, du genre, le personnage principal fait quelque chose d’important et sa se termine et le chapitre d’après on est 1 mois après.
Après c’est peut être moi qui est mal compris. Enfin, le côté de l’histoire que j’ai particulièrement adoré c’est tout ce qui touche le fantastique. On a les elfes, les dragons, la magie, les prophéties.
On a tout un tas de détail, sur les prophéties, sur la façon dont plein de choses arrive à notre personnage principal qui ne sont pas du au hasard.
J’ai trouvé dommage que la romance soit de moins en moins présente car au début de l’histoire on voit que leurs liens est très important pour Darius et que pour avancer il a besoin d’elle mais après plus rien et cela m’a un peu déranger.
J’ai quand même apprécier ma lecture malgré tout c’est petit point négatif que je vous ai dit. Après chacun son avis sur le roman.
Citation
« Des murmures d’une époque oubliée, Des vestiges d’une magie inconnue et ancienne. Sous le ciel étoilé et dans les tourmentes du temps, Les seigneurs Elfes depuis leur domaine boisé contemplent le monde, Les maîtres nains dans leurs royaumes souterrains façonnent la pierre, Et les hommes mortels errent sur la terre et œuvrent à mener leurs destinées. Des ombres s’élèvent en silence, Envahissant les plus sombres lieux, La main noire impalpable attend, De discerner quelle race sera la plus faible.. »
1. Pouvez-vous vous présenter en quelques phrases ?
Bonjour, je m’appelle Gwen, je suis auteure depuis quelques années maintenant, et j’écris sous le pseudonyme de G.A River. J’écris des romans d’urban fantasy où les créatures surnaturelles côtoient le monde des humains. Je suis une grande buveuse de tisane (et de chocolat chaud) et une amoureuse inconditionnelle de l’automne !
2. Comment vous êtes venu votre passion pour l’écriture ?
Au juste, je n’en sais trop rien. Adolescente je lisais énormément, je n’avais jamais eu l’impulsion d’écrire moi-même avant que l’inspiration me frappe soudainement (alors que je regardais un film avec ma mère). Depuis, je ne peux plus me passer de l’écriture, qui est mon travail et ma plus grande passion.
3. L’écriture est-elle votre métier à part entière aujourd’hui ?
Oui absolument. J’ai la chance de ne faire que ça de mes journées, et j’en suis la plus heureuse !
4. Depuis quand écrivez-vous?
Depuis l’âge de 16 ans, environ. J’ai tendance à penser que j’ai commencé l’écriture assez tard sachant que des auteurs écrivaient déjà quand ils étaient tout enfant.
5. Quand écrivez-vous ? Avez-vous un rituel d’écriture, des horaires ?
J’ai effectivement une sorte de rituel d’écriture. J’écris au réveil, pendant mon petit déjeuner, généralement je travaille toute la matiné, à midi je fais une grande pause, et je reprends en fin d’après-midi, parfois jusqu’à 21h.
6. Combien de livre avez-vous écrit à ce jour ?
J’ai écris 8 romans. 7 tomes faisant partie de la série Alpha, et le premier tome d’Avery Brookwell.
7. Combien de livres sont-ils en cours d’écriture ?
A ce jour je travaille sur un seul projet à la fois, je suis actuellement dans l’écriture du premier tome d’une nouvelle série. Mais les idées fusent et les autres projets attendent gentiment leur tour.
8. Comment vous vient l’inspiration ?
Aucune idée. Là encore, la venue de l’inspiration est assez mystérieuse. J’aime à penser que l’inspiration est comme un muscle, plus on la travaille et plus elle devient meilleure. Lire, écouter de la musique, généralement fait partie d’un processus qui boost ma créativité.
9. Comment choisissez-vous la couverture de vos romans ?
Je fais toujours appel à des graphistes pour se charger des couvertures de mes romans. Premièrement parce que je n’ai pas les talents nécessaires pour les faire seule, et ensuite parce que je préfère laisser libre cours à l’inspiration des professionnels. Je leur donne une idée vague de ce que j’aimerais, généralement en lien avec le contenu du roman, et ensuite je les laisse faire leur boulot.
10. Comment choisissez-vous le(s) thème(s) d’un roman ?
Le thème s’impose à moi naturellement, en fonction de l’idée qui me traverse l’esprit. Je me penche généralement sur des sujets qui me passionne, comme les légendes et les mythes anciens.
11. De quels livres êtes-vous le plus fière ?
Avery Brookwell : Les sorcières de l’Essex, sur lequel j’ai énormément travaillé, et qui reflète bien mon style d’écriture d’aujourd’hui, plus affûté que celui que j’avais lorsque j’ai écris les Alpha (alors que j’avais seulement 17 ans).
12. Faites-vous partis d’une maison d’édition ou êtes-vous en autoédition ?
J’ai été en maison d’édition pendant un temps, je le serais sans doute prochainement également, mais pour le moment je suis auto-éditée à 100%.
13. Si vous faites partis d’une maison d’édition, est-ce simple de choisir, comment vous êtes vous décidé ?
Je ne suis pour le moment pas en ME, mais il se pourrait que cela change dans un futur proche pour l’un de mes romans. Je dirais que le choix revient à l’auteur, la voie qu’il décidera d’emprunter dépendra de ce qu’il veut faire de son roman ainsi que du temps qu’il est prêt à investir dans la création et la publication de son roman.
14. Si vous êtes en auto-édition, comment cela se passe-t-il ? (c’est un choix de votre part ou vous souhaiteriez faire partie d’une me)
Etre en auto-édition était un choix de ma part. C’est d’ailleurs généralement un choix de la part des auteurs de s’auto-publier désormais. L’édition indépendante c’est un long processus qui comprend l’écriture d’un roman, sa correction, sa mise en pages, le graphisme de la couverture, sa promotion etc. Il existe plusieurs façon de s’auto-éditer, des plateformes existent comme Bookelis etc. Pour moi le meilleur moyen reste Amazon, c’est très simple d’utilisation !
15. Avez-vous beaucoup de projet ou c’est au coup par coup ? (par exemple sur l’année/mois)
J’ai énormément de projet, mais je me concentre sur un seul à la fois.
16. Envoyez-vous beaucoup de SP ? Comment les déterminez-vous ?
Habituellement, je choisi à qui envoyer les SP, notamment en fonction du contenu et des chroniques proposées par les blogueurs. Le nombre varie !
17. Que ressentez-vous à la fin d’un ouvrage ? (sentiment achevé, tristesse ou autre)
Hmm, c’est difficile à dire, je pense que comme tous les auteurs je suis heureuse d’être arrivée au bout de l’aventure, c’est à la fois un sentiment de libération et de nostalgie. Finir un roman c’est extrêmement gratifiant, car nous sommes arrivé au bout de quelque chose qui nous tenait à coeur.
18. Lequel de vos personnes vous sentez-vous le plus proche ?
Je dirais Poppy Evans, premièrement parce qu’elle était ma première héroïne et aussi parce que je me suis énormément inspirée de mon caractère pour créer le sien !
19. Une citation d’un de vos ouvrages ?
Comme Alpha 1 est ressorti récemment, je vous partage une citation tiré de La guerre des Loups : “Nombre des miens avaient sacrifié leur vie pour maintenir la paix entre les créatures et les Hommes, pour garder le secret de leur existence. C’était sacrément culotté de porter à mon encontre un jugement de valeur basé de stupides idées reçues et une reconnaissance inexistante.”