Interview Elodie François

  1. Pouvez-vous vous présenter en quelques phrases ?

→ Je m’appelle Élodie, j’ai 39 ans et je suis auteure en auto-édition et jeune correctrice-relectrice pro.

  1. Comment vous êtes venu votre passion pour l’écriture ?

→ J’ai toujours créé des histoires dans ma tête et j’ai commencé à les coucher sur papier en 1998. C’était pour un projet réalisé avec ma sœur, pour notre maman qui était à l’hôpital. J’ai eu des périodes où je n’écrivais pas, mais depuis 2008, on va dire que j’écris très régulièrement. (Et quasiment tout le temps depuis 3-4 ans)

  1. L’écriture est-elle votre métier à part entière aujourd’hui ?

→ En partie ! Je suis auto-entrepreneur pour mon activité de correction, et quand je ne corrige pas, j’écris la plupart du temps. Mais c’est très récent…

  1. Depuis quand écrivez-vous ?

→ Depuis 1998

  1. Quand écrivez-vous ? Avez-vous un rituel d’écriture, des horaires ?

→ Oh là là ! N’importe quand et je n’ai pas de rituel, à part mettre de la bonne musique. ^^

  1. Combien de livres avez-vous écrits à ce jour ?

→ Achevés entièrement : 4 (Shiguza, outil de mort créé ; D’un Démon à un homme ; La Prophétie des cinq sœurs ; Cœurs et âmes. Les trois derniers font partie d’une saga en quatre tomes) et un livre illustré pour enfants (Marie et le mystère de l’arc-en-ciel).

  1. Combien de livres sont-ils en cours d’écriture ?

→ Trois. Sans compter, ceux qui sont encore dans ma tête ! ^^

  1. Comment vous vient l’inspiration ?

→ C’est une bonne question… Ça vient tout seul ! Parfois après un rêve, parfois en lien avec quelque chose que j’ai vu, parfois juste comme ça. Ça fait « POP ! » dans ma tête et voilà ! ^^

  1. Comment choisissez-vous la couverture de vos romans ?

→ En fonction de l’histoire. J’essaye de faire en sorte qu’il y ait un rapport, mais que ça n’en dévoile pas trop non plus.

  1. Comment choisissez-vous le(s) thème(s) d’un roman ?

→ C’est un peu comme pour l’inspiration… ça vient tout seul. J’avoue que je ne réfléchis pas trop à ce genre de choses. Je me laisse guider par l’histoire…

  1. De quels livres êtes-vous le plus fière ?

→ Bon alors là… je dirais le dernier peut-être ? Cœurs et âmes… parce que c’est le dernier ? Non, sérieusement, je ne sais pas. Je les aime tous, ce sont mes bébés ^^ !

  1. Faites-vous partie d’une maison d’édition ou êtes-vous en auto-édition ?

→ Auto-édition pour le moment. Si une ME lit, je suis dispo ! Haha !

  1. Si vous faites partie d’une maison d’édition, est-ce simple de choisir, comment vous êtes-vous décidé ?

→X

  1. Si vous êtes en auto-édition, comment cela se passe-t-il ? (c’est un choix de votre part ou vous souhaiteriez faire partie d’une me)

→ C’est un choix, même si je continue à chercher une ME. Jusqu’à présent j’ai publié sur Amazon Kdp. C’est très pratique. On fait tout soi-même, de A à Z. C’est bien, car on peut décider de tout, mais ce n’est pas évident de se faire connaître.

Pour Cœurs et âmes, l’ebook est publié sur Stories by Fyctia avec qui j’ai eu la chance de pouvoir travailler.

  1. Avez-vous beaucoup de projets ou c’est au coup par coup ? (par exemple sur l’année/mois)

→ J’ai beaucoup (trop) de projets ! Il me faudrait du temps à rallonge !

  1. Envoyez-vous beaucoup de SP ? Comment les déterminez-vous ?

→ J’en ai fait peu pour le moment, tout simplement parce que j’en ai découvert le principe qu’il y a peu de temps (je suis novice en promotion ^^).

  1. Que ressentez-vous à la fin d’un ouvrage ? (sentiment achevé, tristesse ou autre)

→ Je suis soulagée d’arriver au bout et en même temps j’ai du mal à lâcher mes personnages !

  1. Lequel de vos personnages vous sentez-vous le plus proche ?

→ Bon, c’est bizarre, mais c’est d’un personnage masculin : Daniel Leroy, dans La Prophétie des cinq sœurs. Il est écrivain (un peu paumé !) et je lui ai donné beaucoup de moi…

  1. Une citation d’un de vos ouvrages ?

→ Allez, une citation du dernier :

« Il y avait cette sensation dans sa poitrine. Elle grandissait en lui, venant par vagues qui paraissaient affluer dans tout son être. C’était nouveau. C’était inconnu. C’était chaud comme le soleil sur sa peau en été, revigorant comme une pluie de printemps, doux comme la brise qui soufflait dans les hêtres des bois qui l’avaient jadis vu grandir. C’était agréable et dangereux à la fois. S’il s’y abandonnait, il savait qu’il allait se perdre, et s’il se perdait alors qu’adviendrait-il de lui ? Serait-il toujours un Szárnyas ? Et s’il n’en était plus un, alors que serait-il ? »

Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à les poser, vous pouvez également retrouve l’interview sur mon instagram : https://www.instagram.com/p/CDzHqFan1bg/?igshid=qapttpwo89d8

J’espère que cela vous aura plus, si c’est le cas, n’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

The Kingdom

Ecrivaine : Jess Rothenberg

Maison d’édition : Casterman

Genre : young adult, science fiction, androïde, robots et éthique

Parution : Le 4 mars 2020

Page : 399

Résumé :

Ana, mi-humaine, mi-robot, est l’une des sept hybrides conçues pour divertir les visiteurs du parc d’attractions Kingdom, petits comme grands. Sa vie prend cependant un autre tournant quand elle est accusée d’avoir assassiné Owen, l’un des membres du personnel. Commence alors un procès haletant, où la vérité n’est pas forcément celle que l’on croit…

Mon avis :

Jess Rothenberg a grandi à Charleston, en Caroline du Sud. Elle vit aujourd’hui à New York avec sa famille. Avant d’écrire des romans pour adolescents, elle éditait des livres pour enfants.

Les éditions Casterman, fondées en 1777, ont évolué pour répondre aux attentes éditoriales de leur époque. Le catalogue actuel s’est construit autour de Tintin et de Martine, deux œuvres plébiscitées sur toute la planète, autant par les enfants que par leurs parents. En complément de ces prestigieux piliers, Casterman publie, tant en littérature Jeunesse qu’en Bandes dessinées, de grandes séries classiques (Alix, Corto Maltese, les Cités Obscures, Martine, Ernest et Célestine ou Émilie) et des sagas innovantes (Lastman, UW2, Cherub ou Bodyguard).

Un vrai coup de cœur pour se roman.

On est tenu en haleine jusqu’à la fin.

Au début, on commence direct avec un meurtre mais on ne sait pas de qui et qui est accusé, on est dans le flou.

Ensuite, on apprend à connaître Ana et son monde ainsi que ses sœurs.

On a également le procès et l’histoire en elle même entre deux.

On a également des images des vidéos surveillances et du coup j’ai trouver que l’histoire était vachement réaliste, on a vraiment tout les détails et je l’ai dévoré.

Tout s’enchaîne rapidement et on va savoir du coup si l’accusation est vrai ou fausse car on le sait vraiment que à la fin.

Et on apprend également d’autres détails mais que à la fin et c’est justement ça qui est bien.

Citation

« Ève est la première Fantasiste, le prototype original. Elle a des yeux noisette et des cheveux argentés. Aujourd’hui, elle porte le diadème qu’on lui a offert à l’occasion du bicentenaire du parc, un bijou en cristal serti d’un minuscule oiseau en saphir. Elle me fixe mais je me détourne – je l’évite depuis que les Superviseurs lui ont accordé la primeur dans le choix des tenues, ce matin. Bien sûr, elle a choisi celle que je voulais, une robe en dentelle espagnole exquise, couleur lavande métallisée.
— Reconnaissance éternelle, ajoute-t-elle.
— Reconnaissance éternelle, répondons-nous doucement, quoique je m’exprime sans grand enthousiasme.
Nia me serre fort la main, puis la lâche. Je lève la tête mais ses yeux bleu-vert sont perdus dans le vague et, déjà, elle s’éloigne, faisant virevolter ses cheveux noirs. »

Ma note : 5/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDt317NHBGR/?igshid=bepv1u75waif

N’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

Zilwa, les trois rites

Ecrivain : Grégoire Laroque

Auto édition

Genre : fantasy, aventure, île

Parution : Le 16 mai 2020

Page du tome 1 : 288

Page du tome 2 : 334

Résumé :

Zilwa Naboo, protecteur sacré de l’île de Welling, meurt subitement, dans d’étranges circonstances. Comme le veut la tradition, son successeur sera le vainqueur d’une série d’épreuves, les Trois Rites, regroupant les jeunes hommes et femmes entre vingt et vingt-cinq ans. Shivan, épaulé par ses amis d’enfance, Alynn et Bojun, participe à cet incroyable défi à travers mer, jungle et montagne. Ensemble, ils devront faire face aux pires trahisons, aux combats les plus spectaculaires, à la perte de proches et à une machination qui les dépasse tous. Amateurs d’aventure, de fantasy, d’action, d’épopées incroyables, voici un roman que vous ne réussirez pas à lâcher avant la fin! Rejoignez Shivan, Bojun et Alynn dans ce voyage à couper le souffle.

Mon avis :

Grégoire Laroque, 30 ans, quitte son Sud-Est natal pour s’installer à Paris puis à l’Île Maurice. Il travaille dans divers secteurs comme la banque, la grande distribution ou les médias avant de se lancer dans l’écriture. Féru de voyages et d’aventures, il parcourt le monde des sommets enneigés du Kilimandjaro aux paysages sauvages de la Patagonie chilienne en passant par la jungle de Malaisie. Tous ses séjours, et notamment ses passages à l’Île de Pâques, l’Île de La Réunion, Madagascar ou l’Île Maurice, ainsi que sa passion pour la littérature fantastique et fantaisie, nourrissent son imaginaire et lui donnent l’inspiration pour écrire son premier roman : Zilwa – Les Trois Rites. Première œuvre d’une série de cinq, son style innovant s’inscrit dans ce qu’il qualifie de « Kreol Fantasy », où les plaines verdoyantes et châteaux médiévaux sont remplacés par des jungles tropicales et cases colorées. Il vit aujourd’hui à Nice, avec sa femme, avec toujours une valise prête pour une nouvelle aventure.

Je remercie l’auteur pour l’envoi de son roman ainsi que pour sa confiance.

J’ai beaucoup aimé ce roman qui est à la fois rafraîchissant avec sa belle couverture de toute les couleurs et en même temps terrifiant avec sa compétition bien hardcore.

Je me suis imaginé à la place des candidats et de tout ce qu’ils ont dû traversé.

Tout commence avec le jeune Shivan, orphelin qui vit avec son grand père, il se passe quelque chose et va participe aux épreuves du grand rîtes avec ses amis.

Tout s’enchaîne rapidement et l’histoire se lit vite, j’ai beaucoup apprécié la plume de l’auteur.

L’auteur nous plonge facilement dans l’histoire et il est compliqué de s’arrêter une fois que l’on a commencé, on est vite happé.

Ce tome 2 est plus calme, il y a moins d’actions par rapport au premier tome mais il nous emmène sur des chemins qui nous interrogent tout au long du roman jusqu’à cette fin.

On retrouve nos personnages principaux, Shivan, Bojun, Alynn et Melen, j’avoue que le personnage de Melen m’a énervé tout du long du tome, Shivan est toujours aussi naïf mais cela fait le caractère du personnage.

On va accompagner Shivan dans son nouveau rôle de Zilwa, on l’accompagne lors des rituels mais aussi des complots contre lui accompagné par une fourmi.

Dès le départ, je sentais que un personnage nous cachais des choses et allait faire tourner en bourrique notre personnage et cela n’a pas loupé.

Citation tome 1

« – Il fait que nous continuons Alynn, dit Shivan avec détermination. Les premiers sont déjà repartis avec un oeuf. Nous devons nous dépêcher avant qu’il n’y en ait plus !
Alynn et Bojun étaient d’accord. Ils s’avancèrent vers la paroi quand un cri se fit entendre au dessus d’eux.
– Attention ! Cria Alynn en poussant ses amis.
Un Sudilien venait de tomber de la falaise et se fendit le crâne à l’impact au sol. Les trois compagnons blêmirent et mirent quelques secondes avant de reprendre leurs esprits. Ils devaient absolument continuer et ne pas se laisser distraire par l’horreur sous leurs yeux. »

Citation tome 2

« je veux m’en occuper aujourd’hui ! Cela fait deux jours que Shivan dors tranquille dans le palais…
– je t’ai dit non.
La personne qui prononça cette dernière phrase avait une voix très bizarre. Alors que le premier individu pouvait être clairement entendu, il semblait que l’autre mettait sa main devant la bouche et étouffait ses paroles. Aucun des deux ne pouvait être reconnu. Pelayo se demanda pourquoi ils parlaient de Shivan. Et de quoi voulaient-ils « s’occuper »?
-le palais n’est que très peu gardé, repris la première voix. Je peux m’infiltrer dans sa chambre, la nuit, et… »

Ma note : 4/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDmDuzCHVYZ/?igshid=d1rzima3xaq5

N’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

Bilan lecture juillet 2020

Bonjour tous le monde 🙂

Aujourd’hui, on se retrouve pour le bilan du mois de juillet, au total, j’ai lu 22 romans.

J’ai eu 2 coups de coeur, the Kingdom et Four dead queens, j’en suis à 9 depuis le début de l’année. Et j’ai dépassé mon objectif de 100 livres.

Ce mois-ci j’ai lu :

  • Le nouveau parleur de Franck J.Matthews
  • Plonge avec moi, tome 1 de Oly TL
  • Hunger games, presquel de Suzanne Collins
  • The kingdom de Jess Rothenberg
  • Autre monde, tome 5, oz de Maxime Chattam
  • Pari risqué, tome 1 de Belinda Bornsmith
  • Jagaaan, tome 1 (manga) de Muneyuki Kaneshiro
  • Jagaaan, tome 2 (manga) de Muneyuki Kaneshiro
  • Jagaaan, tome 3 (manga) de Muneyuki Kaneshiro
  • Zilwa, tome 1, Les trois rites de Grégoire Laroque
  • Heartstopper, tome 1, deux garçons, une rencontre de Alice Oseman
  • Heartstopper, tome 2, un secret de Alice Oseman
  • Heartstopper, tome 3, un voyage à Paris de Alice Oseman
  • Four dead queens de Astrid Scholte
  • Marquer les ombres, tome 2 de Véronica Roth
  • Takane et Hana, tome 1 (manga) de Yuki Shiwasu
  • Takane et Hana, tome 2 (manga) de Yuki Shiwasu
  • Takane et Hana, tome 3 (manga) de Yuki Shiwasu
  • Eragon, tome 2, l’ainé de Christopher Paolini
  • Divergente, tome 1 de Veronica Roth
  • Entre les monde, tome 2, les descendants de Maëlle Andals
  • Une force insoupçonnée de San Vieri

Le nombre total de pages lues est de 8 026 pages

Et vous votre bilan ?

Vous pouvez également retrouver mon bilan sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDeYM1TnhDv/?igshid=wu0le9mb9geb

La cité des sang pur

Ecrivaine : Lucille Chaponnay

Auto édition

Genre : amitiés, pouvoirs surnaturels, fantasy et castes

Parution : Le 9 février 2020

Page : 214

Résumé :

 Imwin, capitale d’Ermera, est surnommée la Cité des Sang-Pur en référence aux mages qui la gouvernent. Grâce à leurs pouvoirs, ils règnent sans partage sur deux castes inférieures, les Privilégiés et les Poussières.Suite à l’assassinat de ses parents, Senia, une Poussière, se voit propulsée dans le monde des Privilégiés où elle fera la connaissance de la jeune Miodanscelle Fet’Melek.Malgré sa condition inférieure, elle devra protéger son amie et évoluer dans un univers qui la rejette. L’arrivée d’un Ombre, ces Sang-Pur espions du Conseil des Douze, va compliquer sa mission. Entre meurtres et enquêtes, Senia parviendra-t-elle à défendre ceux qu’elle aime ?

Mon avis :

Lucille Chaponnay a vécu aux quatre coins de l’Europe. Ingénieure agro-alimentaire qui passe son temps libre la tête dans les livres. Ses genres de prédilections touchent l’imaginaire mais aussi les recoins obscurs du quotidien.

J’ai tout simplement adoré cette histoire et il n’y a que un seul bémol qui a fait que je n’ai pas eu le coup de cœur.

L’univers est vraiment incroyable, on a plusieurs catégories de personnes, il y a les ombres, les nobles et les poussières et parmi eux certains ont des dons plus interessant que d’autres.

On va suivre une petite fille du nom de Senia, qui a un destin funeste.

Au fil de l’histoire on va la découvrir adolescente, et tout va s’enchaîner.

J’ai hâte de savoir la suite car la fin est vraiment intriguante.

En tout cas, j’ai dévorer son histoire en a peine 10h tellement j’étais à fond dedans.

Citation

« Elle avait même l’habitude des cris, de la souffrance et des longues négociations. Mais ce soir-là était particulier, elle l’avait perçu. Elle sentait ces choses-là. Les personnes qui étaient venues n’étaient pas comme les autres. Elles avaient soif de sang. La fillette avait tenté de le leur expliquer, mais ses parents ne l’avaient pas écoutée. Ils lui avaient dit qu’elle était trop petite pour comprendre, qu’ils n’étaient pas différents des autres. Comprenant qu’elle ne pourrait pas les sauver – comment le pourrait-elle, du haut de ses dix ans et armée d’un unique petit couteau ? – elle était montée à l’étage, avait récupéré son sac de survie dans ce qu’ils appelaient sa chambre et ouvert la fenêtre du couloir pour faire croire à une escapade, puis s’était réfugiée dans l’armoire de ses parents. »

Ma note : 4/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDbxtionOPQ/?igshid=j7y51u9ukq7

N’hésitez pas à laisser un like ou un commentaire 🙂

Hunger Games, la balade du serpent et de l’oiseau chanteur

Ecrivaine : Suzanne Collins

Maison d’édition : Pocket jeunesse

Genre : dystopie, survie, dictature, sciences fiction et adolescents

Parution : Le 20 mai 2020

Page : 604

Résumé :

Dévoré d’ambition! Poussé par la compétition Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix C’est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate. Mais le sort s’acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine. Dans l’arène, ce sera un combat à mort. Pour assouvir son ambition, Coriolanus parviendra-t-il à réprimer l’affection grandissante qu’il ressent pour sa candidate, condamnée d’avance ?

Mon avis :

Suzanne Collins est romancière et auteure de bandes dessinées. Diplômée à l’Université d’Indiana, elle a commencé sa carrière en 1991 comme scénariste de spectacles télévisés pour enfants. Elle a travaillé sur plusieurs émissions de télévision pour la chaîne Nickelodeon. Travaillant sur « Generation Oh ! », un programme de télévision jeunesse, Suzanne Collins rencontre les enfants de l’auteur James Proimos (1955). De là naît son envie de créer des livres pour enfants, concrétisée par l’écriture de la série « Gregor » (2003-2007). Elle connaît un immense succès international avec le premier tome de la trilogie « Hunger Games » (The Hunger Games, 2008), inspirée par le parcours professionnel du père de Collins dans l’armée de l’air. Il a été suivi par « L’Embrasement » (Catching Fire), en septembre 2009 et « La Révolte » (Mockingjay) en 2010. Ces romans ont été traduits en 51 langues. Le succès des livres déclenche une adaptation filmée sous la direction de Gary Ross. Le scénario est adapté du roman par Collins elle-même, et le tournage débute au printemps 2011, Jennifer Lawrence incarnant le personnage principal Katniss Everdeen, tandis que Josh Hutcherson joue Peeta Mellark et Liam Hemsworth a le rôle de Gale Hawthorne Suzanne Collins a réalisé un album autobiographique « Year of the jungle », évoquant l’envoi de son père comme soldat au Viet Nam quand elle avait six ans.

Créée en 1994, Pocket Jeunesse, le département jeunesse des éditions Pocket, est une maison d`édition tournée vers la littérature d`enfance et de jeunesse. Elle publie de nombreux best-sellers pour adolescents comme Hunger Games de Suzanne Collins ou encore Gone de Michael Grant.

J’avoue avoir eu beaucoup d’attente sur le roman et également vu beaucoup d’avis positif mais je reste mitigé même si j’ai quand même apprécié mais il me manque certain détail.

Franchement la saga hunger games est vraiment une saga chouchou et j’espère que comme la saga, il y aura un film sur le jeune Snow.

Dans ce tome comme je le disais, on rencontre un Snow qui semble plus « humain » que dans les précédents tomes et qu’on voit évoluer petit à petit dans l’histoire.

On peut également dire que les hunger games que l’on a là et celui que l’on connaît avec Katniss n’ont rien à voir, il est soft celui la mdr. Même si les districts sont moins bien traité cependant.

J’ai bien aimé le personnage de Lucy Gray, fort caractère, qui ne se laisse pas faire. Mais que je n’ai pas compris ce qu’elle devient exactement donc si jamais quelqu’un a compris dites le moi.

En tout cas, ce n’est pas un coup de cœur pour moi j’aurais voulu plus de détail sur la famille de Snow à la fin de l’histoire, on ne sait rien et du coup je suis perplexe.

Citation

« Dans la vallée, là, dans le lointain,
Tard dans la soirée, entends le train.
Le train, mon chéri, entends le train.
Tard dans la soirée, entends le train.
Le public, qui se dispersait déjà, s’arrêta pour l’écouter.
Bâtis une maison, haute comme une tour
Que j’puisse voir passer mon grand amour.
Le vois, mon chéri, voir mon amour.
Que j’puisse voir passer mon grand amour.
Tout le monde s’était tu à présent, les visiteurs comme les tribus. On entendait plus que Lucy Gray et le ronronnement de la caméra qui zoomait sur elle. Toujours assise dans son coin, elle avait la tête appuyée contre les barreaux. »

Ma note : 3/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur mon instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDOscrbH1Kj/?igshid=16jvldn7uasii

N’hésitez pas à laisser un like ou un commentaire 🙂

Le nouveau parleur

Ecrivain : Franck J. Matthews

Auto édition par Librinova

Genre : fantasy, voleur, créature légendaire, aventure

Parution : Le 23 janvier 2020

Page : 386

Résumé :

Degan est un voleur reconnu du Bagne d’Avir. Vaquant à de malhonnêtes occupations, il s’en prend à une vieille femme apparemment sans défense, mais sa victime s’avère être une cible moins facile que prévu. Degan se voit même convaincu par des arguments frappants de suivre la mystérieuse vieille femme au cours d’un périple dont il ignore l’objectif. Cette dernière déteste les criminels et le fait bien sentir, mais Degan porte la marque des Parleurs, ces créatures légendaires capables de ressentir les émotions des êtres vivants qui les entourent. Or, les Parleurs ont disparu des siècles auparavant et non sans raison. Que peut bien signifier l’apparition de la marque ? Et comment un voleur de bas étage peut-il en être le porteur ?

Mon avis :

Franck J. Matthews est Docteur en neurosciences et auteur fantasy. Après son bac S, il a fait un double master en génétique à l’université avant d’obtenir un doctorat en neurosciences en 2018. Après un CDD en tant que manager en entreprise, il quitte le monde de la science et du laboratoire pour se consacrer à l’écriture à plein temps. Il a également été coach sportif. « Le Nouveau Parleur » (2020) est son premier roman.

L’auto-édition façon Librinova, c’est bien plus qu’une alternative à l’édition traditionnelle et, bien plus avantageux que l’édition à compte d’auteur. Une façon simple de publier son livre et d’être lu.

Je remercie du fond du cœur l’auteur pour l’envoi de son roman ainsi que sa patience.

Au tout début, j’étais impatiente de comprendre l’histoire car on suit Degan dans ses aventures et péripétie en tant que voleur. Puis on découvre Neela et tout va changer dans l’histoire.

J’ai adoré le personnage de Neela ainsi que de Tara, entre la sagesse et l’innocence.

On découvre également le rôle du Parleur et des personnes qui l’accompagneront pour son aventure.

Vers la fin, tout s’enchaîne et on a qu’une envie c’est de savoir la suite de l’histoire mais également de la suite pour Degan et ses acolytes.

Une suite de prévu pour 2021 et 2022 🙂

Citation

« – Peste et malepeste ! Vous êtes vachement doués ! Ce n’est pas étonnant que vous m’ayez mis une dérouillée au marché !
– Degan ! S’écria Neela en le foudroyant du regard. Votre langage !
– Oups, pardon. Laissez moi la refaire, dit le jeune homme avant de prendre le ton le plus pompeux dont il était capable. Diantre, votre talent infini n’a point d’égal, j’en reste pantois. Il n’est guère surprenant que vous ayez triomphé de moi au marché.
BAM!
La vieille femme venait de le frapper derrière la tête avec le plat de sa lame de bois . »

Ma note : 4/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDJeq6tnXyj/?igshid=13rd42pp4fn34

N’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

Les enfants de la terre (Les chroniques d’Olendra)

Ecraine : Matt Dejouy

Maison d’édition : Les nouveaux éditeurs

Genre : fantasy, aventure, racisme, psychologie, magie, traumatisme, reconstruction de soi, différence et pirate

Parution : Sort le 7 aout 2020

Page : 254

Résumé :

Une île. Une Colonie.Des dizaines d’esclaves creusent jour après jour. À la recherche de quoi ? Aucun d’eux ne le sait.Et les corvées continuent. Chaque jour semblable au précédent.Jusqu’au moment où un corps armé attaque la Colonie. Esclaves, maîtres, ils massacrent tout le monde, sans distinction. Tout le monde… sauf Keli. Caché par ses parents derrière les planches qui soutiennent le mur de leur taudis, il assiste à la destruction de son univers, et se retrouve seul.Alors il erre, écrasé par le poids du deuil, et de celui, plus lourd encore, de la liberté.Car après une vie de soumission sans appel il est devenu son propre maître. À qui faire confiance ? À lui seul, avec ses connaissances inexistantes du monde d’en haut ? À l’Enfant de la Terre titanesque que tous considèrent comme un monstre ? À ces pirates qui pillent les vestiges de son passé ?Quand la vie s’effondre, les chemins qui surgissent sont parfois très étranges.

Mon avis :

Matt Dejouy est auteur de fantasy et de thriller. « Pour des jours meilleurs » (2018) est son premier livre.

Le site Nouveautés Éditeurs rassemble sous forme d’annonces les renseignements permettant d’identifier un document à paraître ou récemment paru, fournis par les déposants (éditeurs, producteurs, distributeurs, importateurs et commanditaires) dans le cadre de leur déclaration de dépôt légal. Il permet de repérer les nouveautés éditoriales françaises et de suivre le panorama de l’édition.

Je remercie l’auteur pour l’envoie de son roman ainsi que pour sa confiance.

J’ai adoré l’histoire même si par moment avec l’imagination débordante de l’auteur il faut s’accrocher pour suivre. Je pense aussi qu’il faut le lire d’une traite car sinon on est un peu perdu.

Sinon l’univers est juste incroyable, un monde sur une île mais en même temps qui est beaucoup plus et on le découvre à travers un jeune garçon du nom de Keli’fo.

C’est un monde au début cruel et même jusqu’à la fin mais pour ne rien vous révélez je n’en dirais pas plus.

Juste qu’il va faire des rencontres qui vont à jamais changer le court de sa vie et qui vont le changer lui.

J’aime énormément la couverture qui a une grande importance par rapport à l’histoire.

Et j’ai adoré le personnage de Marth qui vous le verrez jour un grand rôle dans l’histoire.

Citation

« Droite. Gauche…
Un son de cloche dans la pièce d’à côté. Nos mains s’activèrent pour finir de plier le linge qu’il restait dans le grand panier au centre de la salle. Les doigts frôlèrent ceux d’Herin qui me sourit. Je l’aidai à plier un gigantesque morceau de tissu beige. C’était comme une danse. Une chorégraphie élaborée au fil des année passés dans ce hall à plier, plier et encore plier le linge qui s’accumulait jour après jour dans le panier central.
Mais pour aujourd’hui il était vide. Le travail était terminé. Le travail du matin en tout cas. Herin m’attrapa la main et m’attira jusqu’à la salle attenante ou quelqu’un avait déposé une bassine de houille de manioc. »

Ma note : 3/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CC3dcPIn8jB/?igshid=1nix1sxa7no8a

N’hésitez pas à laisser un like ou un commentaire 🙂

Interview Alex Sol

  1. Pouvez-vous vous présenter en quelques phrases ?

→ Mon vrai nom c’est Mélanie, j’ai trente ans et je vis actuellement à Montréal au Canada. Je viens du sud de la France, à côté de Toulouse pour être précise, je fais donc partie de la team #chocolatine. 😉 J’aime danser (je fais des claquettes), dessiner, faire de la broderie, faire de la randonnée et courir, entre pleins d’autres choses :). Je suis aussi passionnée par les animaux, je pense qu’à part pour les reptiles ( et encore j’ai eu quelques grenouilles) j’ai adopté tout ce qui était possible. Mon surnom dans ma sphère amicale est d’ailleurs souvent : “Hernandez refuge, Bonsoir !”

  1. Comment vous êtes venu votre passion pour l’écriture ?

→ J’ai toujours aimé les histoires. J’aime la capacité d’évasion qu’elles procurent. J’ai toujours aimé les genres fantastiques et fantasy parce qu’ils me permettaient de rêver d’autre chose, de sortir de la routine quotidienne et de me prendre pour une héroïne badass !

  1. L’écriture est-elle votre métier à part entière aujourd’hui ?

→ J’aimerais ! Vraiment ! Malheureusement, percer en tant que jeune auteur est atrocement difficile, surtout quand on est aussi éclectique que moi. Je peux écrire un thriller atrocement angoissant, comme une saga fantastique ou fantasy. Le plus dur c’est de construire une communauté qui va suivre nos romans.

  1. Depuis quand écrivez-vous?

→ Quand j’étais petite (8-9 ans) j’écrivais et j’illustrais des histoires que ma mère faisait relier. à l’adolescence, je suis tombée dans l’univers de la fanfiction et de toutes ses possibilités. C’est aussi là que j’ai commencé à écrire mes premières histoires originales, mais je n’avais pas le recul nécessaire ni les techniques de construction de scénarios, donc j’abandonnais assez vite. C’est grâce aux fanfictions et aux divers commentaires qu’on a pu me faire dessus que j’ai travaillé mon style et mes constructions de plans.

  1. Quand écrivez-vous ? Avez-vous un rituel d’écriture, des horaires ?

→ Tous les jours. En ce moment, je n’ai pas de travail à côté, donc je suis un petit rituel : je me lève tôt, je déjeune, je pars m’installer au bureau ou dans un café où je déjeune souvent. Puis je continue l’après-midi. La première chose que je fais le matin, c’est de gérer mes mails, mes messages et ma promo, comme ça après je suis tranquille pour la journée. Parfois, lorsque je suis inspirée, je continues d’écrire jusqu’à minuit voir plus.

  1. Combien de livre avez-vous écrit à ce jour ?

→ Deux qui ont été auto-publiés, et un troisième qui est en cours de correction. Il devrait sortir courant mars 2020, donc restez alertes :D.

  1. Combien de livres sont-ils en cours d’écriture ?

→ Deux sont commencés et bien commencés d’ailleurs. J’ai aussi une trilogie de pure SF qui est à un cheveux d’être terminée, mais j’ai envie de reprendre toute la trame du scénario et de peaufiner plusieurs personnages, ça va me prendre du temps. Ensuite, à côté de ça, j’ai une petite dizaine de trames intéressantes que j’aimerais travailler dans le futur 🙂

  1. Comment vous vient l’inspiration ?

→ A la base, tout part d’une idée, d’une pensée ou parfois d’un rêve. Parfois, c’est quelqu’un qui utilise un mot particulier dans une phrase. Parfois c’est une image sur internet, une pensée qui traverse mon esprit. L’inspiration en tant que muse divine… je n’y crois pas. C’est un travail, une habitude prise de chercher des idées, des thématiques. L’inspiration comme elle est parfois décrite, comme si elle tombait dans nos tête, pour moi, c’est un mythe. J’aime aussi écouter les gens quand je suis dans un café, certaines conversations sont formidables et très inspirantes.

  1. Comment choisissez-vous la couverture de vos romans ?

→ Les deux premières je les ai faites moi-même. J’essaies de travailler par rapport à l’univers du roman, ce que je veux exprimer et aussi ce qui se vend. Je regarde beaucoup ce qui existe déjà, ce qui vient de sortir, les couvertures qui ont le plus de succès, et je m’en inspire.

  1. Comment choisissez-vous le(s) thème(s) d’un roman ?

→ Je suis une personne très engagée dans les causes environnementales, humaines et animales, ce sont donc des thèmes qui vont se retrouver souvent dans mes romans.

  1. De quels livres êtes-vous le plus fière ?

→ Jamais d’eux sans toi. Une personne m’a écrit pour me dire que ce livre l’avait faite changer d’avis sur l’opinion qu’elle avait de ce fait de société. Je ne pouvais pas être plus fière. Le fait que mes amis et membres de ma famille m’aient aussi dit qu’ils me voyaient à présent d’un autre oeil, me fait me dire que j’ai pas mal réussi mon coup ;).

  1. Faites-vous partis d’une maison d’édition ou êtes-vous en autoédition ?

→ Je suis en auto-édition.

  1. Si vous faites partis d’une maison d’édition, est-ce simple de choisir, comment vous êtes vous décidé ?

→ X

  1. Si vous êtes en auto-édition, comment cela se passe-t-il ? (c’est un choix de votre part ou vous souhaiteriez faire partie d’une me)

→ Les deux. Les ME avec lesquelles j’avais envie de travailler ont, soit refusé de publier mon roman, ou sont toujours en cours de décision. Il faut comprendre que même les plus petites maisons reçoivent au grand minimum dix manuscrit par jour. Je n’ai pas pris leur refus comme un signe que ce que je faisais était mauvais, mais comme un manque de chance (et de notoriété, il faut l’avouer). J’ai été aussi très sélective dans l’envoi de mes manuscrit. Je ne voulais pas travailler avec des maisons qui avaient une mauvaise réputation ou qui ne mettaient pas bien en avant leurs publications. Alors, ne trouvant pas mon bonheur et étant une femme impatiente (la publication par une ME prend en génral 6 mois à 1 an), je me suis lancée seule. Cela me donne énormément de liberté, que se soit pour le contenu du roman, que pour son titre, sa couverture, sa date de parution,

  1. Avez-vous beaucoup de projet ou c’est au coup par coup ? (par exemple sur l’année/mois)

→ J’ai beaucoup de projet. Pour 2020 je prévois la publication d’au moins trois romans.

  1. Envoyez-vous beaucoup de SP ? Comment les déterminez-vous ?

→ Je regarde le travail des chroniqueurs, la qualité de leur travail (orthographe, grammaire, développement, photo etc…). Ensuite, si je pense que mon roman peut leur plaire, je leur propose… et voilà 🙂

  1. Que ressentez-vous à la fin d’un ouvrage ? (sentiment achevé, tristesse ou autre)

→ Difficile à dire. Lorsque j’écris la dernière phrase, le plus gros du travail commence : la relecture/correction. Mais lorsque je l’envoie pour publication… je ne sais pas comment exprimer ça. C’est un mélange de stress, d’appréhension, de contrôle de mon complexe d’infériorité (rien n’est jamais assez bien, je suis nulle, ce genre de chose), d’excitation… il se passe plein de chose. J’ai eu une petite larme à l’oeil pour le premier, je l’avoue ^^.

  1. Lequel de vos personnes vous sentez-vous le plus proche ?

→ Emilane. C’est le personnage qui est inspirée de moi, nos deux noms sont d’ailleurs des anagrammes.

  1. Une citation d’un de vos ouvrages ?

→ Allez, je vais faire un petit teasing et en mettre une du prochain : “Une terre appartient à ceux qui se battent pour elle, pas à ceux qui attendent que d’autres le fassent à leur place.”

Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à les poser, vous pouvez également retrouve l’interview sur mon instagram : https://www.instagram.com/p/CCvu-vsn2Nk/?igshid=1ou0mcixdsok

J’espère que cela vous aura plus, si c’est le cas, n’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

Planète de Arsène Slab

Ecrivain : Arsène Slab

Auto édition

Genre : science fiction et destins croisés

Parution : Le 26 janvier 2018

Page : 356

Résumé :

Dans un futur proche, où pollution, « ubérisation » et religion paupérisent l’humanité…Après un long sommeil, un célèbre magicien apparaît sur un pylône du Golden Gate Bridge.Toujours en Californie, à Davis, Stuart Cohen, éminent professeur, est froidement assassiné. Intriguée par certains dysfonctionnements dans l’enquête officielle, une de ses étudiantes décide d’en savoir plus sur cet étrange meurtre.Enfermé dans la forteresse sans nom, un prisonnier attend résigné l’heure de son exécution. Pour quelles raisons la Chine souhaite-t-elle le faire disparaître coûte que coûte ? Y aurait-il un rapport avec ce drone russe récemment intercepté dans cette région reculée ?Mokhtar Al Badadi contrôle son immense califat d’une poigne de fer. La rumeur prétend qu’un donateur anonyme a doté le calife de l’arme atomique. Et que ce dernier aurait un plan secret pour perpétrer des attentats. Face à ces menaces, pour la première fois de leur histoire, les États-Unis, malgré la profonde crise économique qu’ils traversent, pourraient envoyer des robots à la place d’humains au combat.Longtemps en possession de la pierre d’Antarès, son détenteur découvre enfin comment utiliser son pouvoir destructeur.Quels buts poursuivent les différents protagonistes ? Particulièrement les membres de cette très puissante organisation, tenant conciliabules dans ce lieu hors d’atteinte pour le commun des mortels ?

Mon avis :

Arsène Slab est un auteur français. Après plusieurs années passées dans un secteur d’activité technique où il était conseiller financier, Arsène Slab est devenu concepteur-rédacteur. Auteur déjà publié dans un autre genre littéraire, il souhaite garder l’anonymat pour son livre « Planète » (2018), un roman futuriste, mêlant science-fiction, fantasy et thriller

Je remercie l’auteur pour l’envoi de son roman ainsi que pour sa confiance.

J’avoue avoir eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire, et même ensuite j’accrochais beaucoup quand c’était sur Merlin ou Amanda Cruz mais pas sur le reste de l’histoire pourtant tout à un lien.

Et attention également car dans le roman, il y a des scènes violentes et sexuelles.

Il y a une enquête, une course poursuite, une histoire avec Merlin mais également des djihadistes.

Je trouve que l’histoire par dans tout les sens, on a un point de vue différent à chaque chapitre et par moment les chapitres font qu’une page, ce qui m’a perturbé, je ne savais plus qui parlait.

Et je n’arrivais plus à suivre l’histoire, je ne pense pas lire la suite malheureusement de cette histoire.

Citation

« Voilà trop longtemps qu’il patientait. Trop longtemps qu’il s’échinait à reconstruire un honorable empire familial, fondé au XVIe siècle. Jadis, les Van Hagen étaient les armateurs les plus prestigieux de ce monde, les rois des sept mers. En bois, à vapeur, à voile, en métal, leurs navires traversaient superbement les océans comme les époques. Ils savaient construire petit, moyen, grand, pharaonique, si leurs clients l’exigeaient. Seuls les Van Hagen eux mêmes ou de fin connaisseurs percevaient pleinement la puissance, la philosophie d’une telle entreprise, l’abnégation nécessaire pour inlassablement renouveler, innover, créer et faire perdurer cette noble entreprise qui parfois, relevait presque du mystique. »

Ma note : 2/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur instagram ici : https://www.instagram.com/p/CClc6gNHWI8/?igshid=lrhjn928qnbf

N’hésitez pas à laisser un like et un commentaire 🙂

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer