Genre : chanson, illustration, chanson chrétienne, enfant, chant et instrumental
Résumé :
Pour les lecteurs et chanteurs en herbe, les 16 chansons de Noël les plus célèbres de notre patrimoine. Enregistrements téléchargeables gratuitement sur internet. Pour lire, écouter et chanter : Petit Papa Noël. Noël blanc. Entre le boeuf et l’âne gris. Douce nuit, sainte nuit. Les anges dans nos campagnes. Mon beau sapin. La légende de Saint-Nicolas. Dans cette étable. L’enfant au tambour. La marche des rois mages. Minuit, chrétiens ! Vive le vent. Il est né le divin enfant. Ave Maria. Glory Hallelujah. La véritable histoire du père Noël.
Mon avis :
Je reçu le roman grâce à @babelio_ avec la masse critique.
J’ai emmener le livre et le CD à mon travail, les enfants ont adoré écouter les musique de noël et nous aussi.
Je leurs ai également montré le livre et ils ont commenté pas mal les illustrations qui sont très belles et j’ai pu accompagner aussi les chansons grâce aux paroles dans le livre.
Je n’ai pas encore écouter l’instrumental mais je pense que ça va être pas mal pour calmer l’es moments d’excitation des enfants.
Il y a même au début un Qr code pour écouter les chansons sur notre téléphone si jamais le cD est perdu.
« C’est la belle nuit de Noël La neige étend son manteau blanc Et les yeux tournés vers le ciel À genoux, les petits enfants Avant de fermer les paupières Font une dernière prière Petit Papa Noël Quand tu descendras du ciel Avec des jouets par milliers N’oublie pas mon petit soulier Mais avant de partir Il faudra bien te couvrir Dehors tu vas avoir si froid C’est un peu à cause de moi Il me tarde tant que le jour se lève Pour voir si tu m’as apporté Tous les beaux joujoux que je vois en rêve Et que je t’ai commandés Petit Papa Noël Quand tu descendras du ciel Avec des jouets par milliers N’oublie pas mon petit soulier »
Genre : thriller, vaudou, enquête policière, suspense et vengeance
Parution : 5 mai 2022 format pocket
Page / heure d’écoute : 11h10min soit 500pages
Résumé :
En décembre 1991, quand Franck Sharko, tout juste sorti de l’école des inspecteurs, débarque au 36 quai des Orfèvres, on le conduit aux archives où il est chargé de reprendre l’affaire des Disparues du Sud parisien. L’état des lieux est simple : entre 1986 et 1989, trois femmes ont été enlevées, puis retrouvées dans des champs, violées et frappées de multiples coups de couteau. Depuis, malgré des centaines de convocations, de nuits blanches, de procès-verbaux, le prédateur court toujours. Sharko consacre tout son temps à ce dossier, jusqu’à ce soir où un homme paniqué frappe à la porte du 36. Il vient d’entrer en possession d’une photo figurant une femme couchée dans un lit, les mains attachées aux montants, la tête enfoncée dans un sac. Une photo derrière laquelle a été notée une adresse, et qui va entraîner le jeune inspecteur dans une enquête qui dépassera tout ce qu’il a pu imaginer…
Mon avis :
Franck Thilliez est un auteur de romans policiers et scénariste. Il allie sa passion sur les technologie à son goût pour les thrillers pour donner naissance à son premier roman, « Train d’enfer pour Ange rouge » (2003), qui a été nominé au Prix SNCF du polar français 2004. Il publie en 2005 « La Chambre des morts » (Le Passage), qui deviendra par la suite en 2007, le film éponyme d’Alfred Lot, avec Mélanie Laurent dans le rôle de Lucie Henebelle. Il reçoit pour son deuxième roman le Prix des lecteurs Quai du polar en 2006, et le Prix SNCF du Polar français en 2007. À partir de là vont se succéder les thrillers mettant en scène Franck Sharko (« Deuils de miel », 2006), ou Lucie Henebelle (« La Mémoire fantôme », 2007). Il publie également des one-shots tels que « La Forêt des ombres » en 2006, « L’Anneau de Moebius » en 2008 et « Fractures » en 2009, mêlant psychiatrie, neuroscience et cinéma. Mettant la barre toujours plus haut, Franck Thilliez décide de réunir ses deux inspecteurs fétiches, Franck Sharko et Lucie Henebelle dans une trilogie ayant pour thème la violence. Son premier opus, « Le Syndrome E », est publié au Fleuve Noir en 2010. C’est la consécration immédiate. Classé dès sa sortie dans les listes des best-sellers, le roman se vend dans une quinzaine de pays dont les États-Unis. La suite du « Syndrome E », « Gataca » paraît au Fleuve Noir en 2011 et le dernier opus de la série, « Atomka », en 2012. Ces deux policiers travailleront ensuite ensemble dans « Angor » (2014), « Pandemia » (2015), « Sharko » (2017). C’est la société de productions Escazal Films, que Franck Thilliez a choisie pour adapter les aventures de ses célèbres flics à la télévision. Franck Thilliez publie au Fleuve Noir « Vertige » en 2011, « Puzzle » en 2013 et « Le Manuscrit inachevé » en 2018. Franck Thilliez est également scénariste. Son premier scénario, « Obsessions », de Frédéric Tellier, diffusé sur France 2 en février 2010, a obtenu le Prix Mireille Lantéri en 2011. Il a aussi écrit avec Mikaël Ollivier « Insoupçonnable », diffusé sur France 2 en 2012.
Franck thilliez nous emporte dans une histoire remplie de meurtres et de suspense.
On va suivre l’inspecteur Sharko, qui vient tout juste d’être diplômé.
Philippe Vasquez débarque un soir en possession d’une inquiétante photo figurant une femme ligotée à un lit, le visage masqué par un sac. A son dos une adresse à laquelle Franck Sharko se rend… Mais très vite ces vérifications d’usage vont le confronter à l’horreur et l’entraîner avec son groupe sur les traces d’un redoutable meurtrier…
Elle se déroule 30 ans en arrière, mais n’est ni moins prenante ni moins sombre que les autres.
Va s’en suivre toute une enquête pour découvrir qui a tuer toute ses personnes et pourquoi aussi utiliser la mutilation.
Ce que l’on découvre et toute aussi horrible, et s’en suit une chasse à l’Homme afin de retrouver le meurtrier.
L’équipe va d’ailleurs être confronté à de la magie, des tours de passe passe, des changements de looks par le meurtriers et se retrouver piéger dans un tour de magie.
Un choix de thématiques toujours pertinent , intéressant et bien documentés , qui apporte comme à chaque fois la touche d originalité nécessaire pour se renouveler .
Un roman riche , dense , multi facettes, sombre ou Thilliez nous fait du Thilliez comme il sait si bien le faire.
Citation
« Mon cher Philippe, Tu as des points faibles, que tu t’appliques à compenser chaque fois que tu en as l’occasion. Pour les autres, tu es la plupart du temps un homme discret, tu sais te contrôler en public, mais au fond, tu es souvent préoccupé et parfois pas très assuré. Tu as besoin d’être aimé et admiré, et pourtant tu es critique envers toi-même. Il arrive que tu te demandes sérieusement si tu as pris la bonne décision ou fait ce qu’il fallait, quand il le fallait. Cette fois, il va te falloir faire le bon choix. Je sais que tu es doté d’incroyables facultés intellectuelles auxquelles toi-même tu n’as jamais cru, et je vais t’en donner la preuve. Je t’invite à fermer les yeux, et à penser à un prénom féminin. Le premier qui te passe par la tête… Vas-y. »
Genre : dark romance, drame, thriller psychologique, drame sentimental et drame d’enfance
Page : 156
Résumé :
Quand l’amour fait basculer les frontières de la normalité dans l’abject avec une possession qui n’a pas lieu d’être. Louise a connu cela toute sa vie sans pour autant s’en plaindre. Elle avait même fini par apprécier puisqu’elle ne connaissait que cette façon d’être aimée. Le non consentement avait été banalisé par un discours rabâché depuis sa tendre enfance jusqu’au jour où sa rencontre avec Oskar lui fait comprendre qu’elle est loin de la réalité. Avec son quotidien chamboulé, elle va pouvoir s’apaiser quelque temps, à ses côtés, dans le respect d’un amour sincère. Mais l’abominable refait toujours surface…
Avis :
Originaire de Bordeaux, l’autrice a vécu toute ma jeunesse dans les alentours de Toulouse ainsi que dans la ville dite même. Elle a commencé des petits bouts de cette histoire en 2011 pour continuer quelques parties en 2013. Une mésaventure lui a fait perdre les fragments de texte. C’est fin 2015 qu’elle a eu le déclic pour tout recommencer depuis le début. Après quelques mois de pause, elle a véritablement avancé fin 2016 pour laissé tomber en 2017 lorsque elle a appris sa grossesse. On peut dire que 2020 a été la bonne année pour terminer le roman de A à Z.
Dans se roman, il faut s’accrocher car c’est un sujet très particulier qui est l’inceste mais du point de vue de plusieurs personnages Louise, celle qui vie l’inceste mais qui ne comprend pas pourquoi cela est mal car elle l’a toujours vécu, son père, son oncle et également Oskar, qui va lui ouvrir les yeux.
Je l’avoue c’est un sujet auxquels j’ai énormément de mal, et je ne comprend pas comment les personnes de la famille peuvent faire cela, que se soit à leurs enfants, petits enfants, nièces, neveux etc.
Cela fait peur, on a tellement peur que quelqu’un puisse le vivre et ne dise rien.
Louise nous raconte son histoire ainsi que son passé sur sa mère, elle reste beaucoup dans les années de son enfance pour se souvenir d’elle. On voit que la situation est normal pour elle au début, vie de luxe, fille à papa, elle ne peut juste pas être libre de ses mouvements.
Oskar quand à lui, cherche à tout prix un travail, et monsieur goodman (pere de Louise) va l’embauche, un autre employé lui dit surtout ne t’intéresse pas à Louise sinon tu le regretteras mais pour lui il fallait qu’il aille lui parler.
C’est une histoire touchante mais aussi dur a lire car il y a les passages sexuelle entre Louise et son père.
Citation
« Je commande un Mocchiato avec un cinnamon roll et m’installe à la terrasse afin de me griller une Rothmans. À peine entamée, je finis par l’écraser par terre. Par simple provocation. Histoire de faire chier ces deux vieilles qui me regardent avec insistance. Et je décide d’en entamer une autre. C’est au bout de quelques secondes qu’elles lâchent prise à ce jeu du regard. Et se remettent à cancaner par la suite. Du moins, je suppose. Je ne sais pas et je m’en fous. Je n’aime pas la vieillesse. Je la trouve déprimante. L’enfance m’horripile également. À vrai dire, je n’accepte que la compagnie de quelques hommes et quelques instants. Pas plus. J’en suis là. J’enchaîne le plus grand péché d’un pauvre petit cancéreux des poumons. Peut-être que son calvaire a commencé comme le mien. Une histoire anodine pour les autres et une tragédie terrible pour ceux qui la vivent. »
Genre : secret, thriller psychologique, suspense, polar et thriller
Parution : Le 21 avril 2016
Page : 360
Résumé :
Catherine ne sait plus comment ce livre lui est parvenu, mais depuis qu’elle l’a commencé, elle ne dort plus. Angoissée, obsédée par cette lecture, elle ne parvient pourtant pas à la terminer, terrifiée par ce que la fin pourrait révéler. Car le personnage de ce livre, c’est elle. Elle en est convaincue. Et l’auteur, E. J. Preston, y expose un secret qu’aucune personne vivante n’est censée connaître. Derrière ce pseudonyme, se cache Stephen Brigstocke. Cet ancien professeur voit sa vie déraper doucement et sûrement depuis le décès de son épouse. Jusqu’au moment où il découvre dans les affaires de celle-ci les photos d’une femme sur une plage et posant nue dans une chambre d’hôtel. Stephen n’a alors plus qu’un but : voir sombrer celle qu’il juge être la source de son malheur…
Avis :
Renée Knight est réalisatrice, productrice et auteur de documentaires. Elle a travaillé sur les documentaires d’art à la BBC et sur des scripts pour le cinéma et la TV pour la BBC, Channel Four, et Capital Films. En avril 2013, elle est diplômée de la « Faber Academy ». « Révélée » est son premier roman. Elle vit à Londres avec son mari et ses deux enfants.
Depuis sa création en 1962, 10/18 se revendique comme un éditeur défricheur de nouveaux talents littéraires et possède l’un des plus beaux catalogues de littérature étrangère contemporaine au format de poche. Il séduit également de très nombreux lecteurs avec des intrigues policières, situées aux quatre coins du monde ou dans les coulisses de l’Histoire. 10/18 explore aussi et éclaire non sans humour ou ironie nos sociétés contemporaines avec des auteurs cultes comme John Kennedy Toole, Jim Harrison, Armistead Maupin, Murakami ou John Fante. Tous les visages du polar sont également représentés chez 10/18 depuis 35 ans avec « Grands détectives » et depuis 2005 pour le « Domaine policier ».
J’ai eu se livre offert pour l’achat de deux poches achetés et grâce à cela j’ai découvert se roman, sinon je serais passé devant.
C’est l’histoire de Catherine qui découvre un jour un roman, qui parle d’elle mais également de son fils et de quelqu’un d’autre que l’on va découvrir plus tard. Elle ne sait pas qui lui a envoyé mais elle avant de le recevoir à son ancienne adresse, elle comprenait déjà qu’elle était suivi mais par qui ?
On le découvre au fur et à mesure de l’histoire, on découvre aussi la vérité cache derrière le roman.
Elle ne va plus en dormir et je trouve cela normal quand on imagine la situation, un jour on reçoit un roman qui raconte un moment de sa vie, et un accident auquel elle n’a pas parlé à son mari par rapport à leur fils.
Ensuite au fur et à mesure de l’histoire, le mari va être au courant mais sans écouter la version de sa femme mais celle du roman et celui qui lui a donné, il va ensuite en parler à son fils.
On voit toute les réactions et à la fin, on apprend enfin la vérité sur toute l’histoire. Comme quoi une version ne fait pas l’autre, et qu’il faut écouter tout les points de vue avant de le dire et de déformer.
Citation
« Catherine s’arc-boute mais elle n’a plus rien à sortir. Elle s’agrippe à l’émail froid et relève la tête pour regarder dans le miroir. Le visage qui lui fait face n’est pas celui avec lequel elle est allée se coucher. Ce visage, elle l’a déjà vu et elle comptait bien ne jamais le revoir. Elle s’examine sous cette nouvelle lumière crue puis elle mouille un gant, s’essuie la bouche et le presse contre ses yeux, comme pour éteindre la peur qui brûle en eux. -Est-ce que ça va ? La voix de son mari la fait sursauter. Elle espérait qu’il ne se réveillerait pas. Qu’il la laisserait tranquille. -Mieux, maintenant, ment-elle en éteignant la lumière. Puis elle débite un nouveau mensonge. »
Genre : young adult, magie, vampire, créature fantastique et danger
Parution : Le 12 avril 2019
Page du tome 1 : 400
Page du tome 2 : 465
Résumé du tome 1 :
Sérena, l’une des dernières humaines de la région de Silana, s’est toujours sentie exclue. Après tout, qui se sentirait à son aise entouré de créatures plus puissantes les unes que les autres ? Si sa famille est en partie vampire, cela ne l’empêche pas de détester tous les nocturnes, sans exception. Etre entourée de vampires, métamorphes, démons et ensorceleurs ne lui a jamais rien apporté de bon dans sa vie. Du moins, avant son arrivée à l’académie Valdenbourg… Entre conflits et mystères, un amour semé d’embûches naîtra entre Sérena et l’un des vampires de l’académie. Cette rencontre bouleversera son existence, mais aussi ses croyances sur les nocturnes. Finalement, peut-être ne sont-ils pas tous pareils…
Mon avis :
Jocabel C. Caballero est auteure de fantastique et romance chez Plume de Papier. « Humana » (2019) est le premier tome d’une saga fantastique où l’univers surnaturels prime sur celui que nous connaissons.
L’aventure de la maison d’édition Plume de papier a démarré en Novembre 2018.Prenez l’amour des livres, ajoutez la passion de la lecture, et vous obtenez Plume de papier. Situé à Cadaujac, près de Bordeaux, notre maison d’édition à compte d’éditeur a pour but de découvrir et de promouvoir les auteurs de talent, novices ou confirmés. Trois univers de prédilection : la romance Young Adult, le fantastique Young Adult et la New Romance. Au-travers de nos romans, nous souhaitons vous embarquer au cœur d’histoires originales, débordantes de rebondissements et de romance. L’ambition d’être publié est le propre de chaque auteur, et révéler des pépites cachées est celle de Plume de papier. Petits et Grands, bienvenue dans nos univers !
Pour le premier tome, j’ai tout simplement dévorer ce livre, si j’avais pu je l’aurais lu en une journée et même comme ça je l’ai dévorer tellement la plume est facile à lire et agréable.
Les chapitres sont assez court et nous permet de digérer les informations facilement. Car il faut connaître, la condition de Serena et aussi des autres nocturnes. De s’adapter aux pouvoirs, aux conditions de chacun, des personnages.
J’adore Gabriel et Dorian qui sont mes personnages préférés. Mais j’aurais bien aimer en savoir plus sur la voix, sur les changements de comportements des parents et de tout le monde enfaite mdr.
Et surtout la fin, je reste sans voix vraiment, j’ai vraiment hâte de lire la suite. Et je n’ai pas vu le lien entre Twilight car il n’y a pas de loup et un vampire qui se battent pour une humaine.
Pour le second tome, je n’avais pas relu le premier tome mais je pense qu’il faudrait ou l’auteur devrait nous rappeler les fait.
J’avais oublier à quel point, j’adore la plume de l’auteur et la manière dont elle nous transporte facilement dans son monde.
Nous avons Serena, une humaine qui vit dans un monde de surnaturel avec des démons, des sorciers et des vampires, ses parents sont également des surnaturels. Dans se tome, on est plus concentré sur le fait que Serena perçoit des choses que les surnaturels, eux ne perçoivent pas, du coup on se pose des questions.
On découvre Sören qui va prendre soin de Serena en tant que Gardien, on a encore Dorian et Gabriel qui font tout pour elle et leurs amitiés comptent vraiment.
On découvre enfin aussi d’où proviennent les cauchemars de Serena, et aussi ce qui va les tourmenter.
Et cette fin de tome, m’a bouleversé au plus au point et du coup j’ai hâte de savoir ce qu’il va se passer surtout avec les dernières paroles du tome.
Citation tome 1
«- Tu te rappelles ce que tu m’as dit la première fois que je t’ai ramenée?
Acquiesçant, je me laissais happer par ses yeux ardents. Je me souvenais très bien de mon conseil : « sois toi-même ». Si j’étais surprise qu’il s’en souvienne, je l’étais encore plus en comprenant qu’il l’appliquait.
– Tu as chamboulé ma vie, Serena. Toutes ces cérémonies avec les nocturnes me poussent à être quelqu’un d’autre. Avec eux, je dois me comporter en permanence comme le sang-pur digne de succéder au régent. Mais avec toi, tout est différent »
Citation tome 2
« -Ce que tu ressens pour elle n’est pas réel ! S’enteta mon oncle. Éveil ou non, elle n’est pas faite pour toi. Elle n’obéit même pas à nos règles d’accouplement ! Tu ferais mieux d’accepter de l’effacer une bonne foi pour toutes. L’éveil ? Ophelia l’avait déjà mentionné. Elle semblait croire que ce qui nous unissait, Serena et moi, était dû à ce fameux lien psychique et inexplicable qui se créait entre deux âmes prédestinées. Seulement, mes sentiments pour Serena allaient bien au delà. J’en avais la certitude. Malgré le sortilège, ils restaient intact. Malgré l’envoûtement, mon cœur et mon esprit ne cessaient de me mener à elle. »
Genre : dystopie, amour, programme de recherche, futur, cobaye
Parution : Le 25 novembre 2021
Page : 368
Résumé :
Une dystopie amoureuse originale : comment remettre l’amour au centre des préoccupations de la jeune génération pour rétablir l’équilibre démographique et social de la planète ? Pour les nouvelles générations, l’amour est relégué au rang de bien de consommation éphémère, entraînant une destruction du paysage démographique et social. En 2050, le gouvernement convoque scientifiques, psychiatres et chercheurs afin d’élaborer le programme » Symbiosa « . L’objectif : mettre un terme à des décennies d’individualisme forcené, de mariages ruinés, de fratries divisées, en » reconfigurant » chez les jeunes individus la perception de l’amour. Vingt-trois ans plus tard, » Symbiosa » est prêt à être testé sur la génération » cobaye 001 pour sauvetage du système « , à laquelle appartient Thiago. Étudié depuis son enfance, le jeune homme de 21 ans est sur le point d’intégrer l’ultime étape du programme avec ses amis : celle qui doit lui faire découvrir l’amour avec » l’Autre » qui lui sera attribué…
Avis :
Après avoir publié sur une plateforme littéraire sur Internet, à l’age de 14 ans, Morgane Bicail se fait repérer par l’une des plus importantes maisons d’édition françaises, Michel Lafon. PhonePlay (Michel Lafon, 2016) est son premier roman. Elle vit à Vauhallan, dans l’Essonne.
En 1980, Michel Lafon créait sa maison d’édition, avec derrière lui un parcours déjà riche et atypique où il fut tour à tour patron de presse (il a créé le magazine Podium, puis dirigé Hachette Presse Jeunesse) et producteur de télévision. Cette pluralité, ce goût d’une culture grand public de qualité sont rapidement devenus l’empreinte d’une maison d’édition qui, à raison de plus de 150 livres par an, s’est hissée parmi les plus importantes de France, sans pour autant renoncer à son indépendance. Il en résulte un catalogue d’une très grande variété.
Je remercie la masse critique de babelio pour m’avoir fait découvrir se roman.
Je ne sais pas pourquoi mais la couverture et le résumé du roman m’ont tout de suite plu.
On découvre un monde où l’amour a disparu, la plupart des familles vivent sans leurs enfants ou seulement un parent reste avec leurs enfants.
Pendant 7 ans, les protagonistes vont écrire au gouvernement afin que des scientifiques et chercheurs puissent leurs trouver l’âme soeur.
Thiago et ses amis, vont aller sur une île afin d’étudier l’amour et rencontrer leur autre.
Mais pour Thiago cela cache énormément de chose et il va mener son enquête, il va également rencontré Shiyo.
Je n’ai pas trouvé le roman long, on a tout les détails de la procédure, de son raisonnement face à l’amour, ses habitudes de vie. J’ai beaucoup aimé les personnages ainsi que l’enquête par rapport aux programmes.
J’ai également beaucoup apprécié la fin que je ne peux pas trop dire sinon je vais tout vous spoliez.
Citation
« J’ai la sensation d’avoir voyagé dans le passé et me revois assis au bord de la falaise de la côte sud de Vinaya. Je me rappelle précisément l’instant même où cette petite danseuse est entré dans mon champ de vision et les sensations qui m’ont submergé pendant que j’ai observé en secret. Une douce chaleur se répand dans la poitrine, se propageant progressivement dans le reste de mon corps. Un instant, je revois Shiyo à quelques mètres de moi, et j’ai l’impression qu’il me suffit de descendre la falaise pour la rejoindre… Elle est presque à portée de main… »
Genre : Humanoïdes, science-fiction, romance, royauté et politique
Parution : Le 3 mai 2017
Page du tome 1 : 592
Page du tome 2 : 577
Page du tome 3 : 592
Résumé du tome 1 :
Avez-vous déjà observé un tigre ? Il possède une mâchoire assez puissante pour broyer l’homme le plus robuste, des muscles d’acier capables de traquer n’importe quelle créature. Pourtant, lorsqu’il attaque, il donne la mort avec une grâce aérienne ». Un Diabolic n’est pas humain. Un Diabolic est programmé pour être fidèle envers une seule personne. Un Diabolic n’existe que pour protéger son maître. Quitte à donner sa vie. Quitte à en prendre d’autres.
Avis :
S J Kincaid est déjà bien connue des lecteurs aux États-Unis où elle a publié une trilogie à succès. « Diabolic » est son premier roman traduit en français.
Bayard Jeunesse, créateur de contenus pour les enfants de 1 à 18 ans, depuis plus de 60 ans ! Six millions de petits et grands lecteurs dévorent chaque mois nos histoires, nos reportages, nos BD ! Ici on vous raconte d’où l’on vient et qui on est, quels sont nos engagements et ce dont on rêve pour les enfants. En savoir plus : https://www.bayard-jeunesse.com/infos/marque-bayard-jeunesse/
C’est un roman qui melange du SF, dystopie mais aussi de la romance.
Pour le premier tome, on se retrouve dans un univers très futuriste, les Diabolic sont crées dans le seul but de servir et de protéger jusqu’à la mort une seule personne. C’est pourquoi les parents de SIdonia font l’acquisition de Némésis pour la protéger puisqu’ils sont plutôt bien placés dans le gouvernement. On a en détail, comment son créer les diabolic, leurs réactions mais aussi le développement surtout de Némésis tout au long du tome. La plume de l’auteur est fluide et très addictive ! On est rapidement mis dans l’ambiance du livre avec une Némésis prête à tuer pour protéger. On a vraiment aussi la galaxie en détail, on est vraiment embarqué dans notre lecture sans s’ennuyer. On découvre également le personnage de Tyrus qui est un personnage que j’adore avec celui de Némésis.
Le premier tome est vraiment une tuerie comparée à se deuxième tome.
On a vraiment l’impression que celui ci est long à démarrer, on attend que l’action se mette en place. En effet, j’ai eu l’impression que celui-ci n’avançait pas et donc de me retrouver au même point à plusieurs reprises. On en apprend quand même plus sur Némésis qui est un personnage assez mystérieux dans le premier tome, qui doit se cacher ou montrer ce que l’on a envie de voir d’elle. L’auteur n’épargne pas ses personnages. La tournure des événements est ahurissante et totalement invraisemblable dans le sens où j’ai été dans le déni de la moitié du roman à la fin. Encore maintenant, j’ai du mal à y croire et je ne veux pas y croire surtout. Globalement il est difficile de rester longtemps perdu car l’action est tellement présente qu’à chaque instant nous sommes sur nos gardes. Et les personnages vont passer par tous les stades d’émotions, sans jamais les épargner.
Un dernier et ultime tome très attendu, j’ai du relire les autres tomes pour m’en rappeler.
C’est un dernier tome très addictif, et on attend qu’une chose, d’en savoir plus sur l’histoire et la fin du dénouement entre les deux personnages principaux. L’autrice a vraiment su nous retourner le cerveau avec les changements de personnalités de chacun des personnages afin que chacun jouent des rôles bien différents dans chaque tome. J’ai trouver que au début, on avait la Némésis assez brute qui se découvre, ensuite dans le deuxieme celle qui découvre et explore sa part d’humanité et enfin pour le dernier, celle qui ferra tout pour sauver les personnes auxquelles elle tient le plus. On retrouve également Neveni, Supplice et Gladdic qui sont des personnages fort surtout dans le dernier tome où ils sont vraiment important pour les choix de Némésis. Comme dans le premier tome, j’ai trouver le début du roman, un peu lent mais ensuite, on ne sait plus où donner de la tête.
C’est vraiment une fin de trilogie bouleversante.
Citation tome 1
«- Oh oui, ton regard froid et impitoyable… tout à fait dépourvu d’empathie. Ce signe si particulier des Diabolics ! A mon avis, tu te fondras mieux que tu le crois dans ce nid de vipères. Elle eut un petit rire. – Bien mieux que Sidonia, en tout cas » Sans se départir de son sourire, elle se leva dans un bruissement de sa longue robe. – L’empereur veut que j’expédie mon agneau innocent a l’abattoir. Il n’en est pas question. Je vais plutôt lui envoyer mon anaconda. »
Citation tome 2
« Il me lança un regard menaçant, comme s’il me mettait au défi de lui faire remarquer qu’il trichait. Une pulsion très rare s’empara de moi, et un rire s’échappa de ma gorge. Des flammes illuminèrent ses yeux écarquillés. – Tu as ri, s’émerveilla-t-il. – Pas du tout ! Je rougis, mais je me pris à sourire quand même comme une jeune idiote. »
Citation tome 3
« – Quelque chose me perturbe. Une étoile hyper véloce passe à côté de la Configuration Armistice bien trop rapidement. Pourquoi doit-elle bouger ? Pourquoi ne reste-t-elle pas simplement à sa place ? C’est un acte de défiance blasphématoire contre moi, ne vous semble-t-il pas, Votre Suprême Ascendant ? Fustien s’apprêtait à prononcer ses bénédictions. Il décocha un regard sidéré en direction de l’empereur et lut sur son visage qu’il recherchait son assentiment. – Bien évidemment, maintenant que j’y pense… notre divin empereur a raison. Une étoile qui ne connaît pas sa place enfreint les lois divines. – Il faut intervenir, affirma Tyrus. Il déclara la première guerre de son règne contre cette étoile hyper véloce. Quand la nouvelle se répandit, on crut d’abord à une plaisanterie, mais Tyrus réunit une véritable armada contre l’étoile. »
Genre : malediction, horreur, sorcière, fantastique et terreur
Parution : Le 20 septembre 2017
Page : 550
Résumé :
Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort. Quiconque y vient n’en repart jamais. Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants s’y sont tellement habitués qu’il leur arrive d’oublier sa présence. Ou la menace qu’elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra. Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux. Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu’on leur impose. Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar…
Avis :
Thomas Olde Heuvelt est un romancier et nouvelliste. Il a étudié la langue anglaise et la littérature américaine à l’Université Radboud de Nimègue et à l’Université d’Ottawa au Canada, où il a vécu pendant six mois. Il a écrit son premier roman, « De Onvoorziene » (2002), à l’âge de dix-neuf ans. Salué par la critique, son roman d’épouvante « Hex » (2013) est un succès traduit dans quatorze pays, et la Warner développe actuellement une série télévisée basée sur le roman.
« Le groupe Bragelonne, c’est l’histoire curieuse d’une bande de potes qui, en voulant partager leur passion, sont devenus le premier éditeur indépendant d’Imaginaire en langue française. Composée d’un seul label à sa naissance, la maison en comporte aujourd’hui sept, dans des genres aussi divers que l’Imaginaire (Bragelonne), les Comics (HiComics), la littérature (Hauteville), la bit-lit (Milady), la jeunesse (Castelmore), le manga (Mangetsu) ou encore le jeu. Les éditions Bragelonne, à l’origine du groupe, c’est plus de 550 auteurs venus de tous les horizons, qui forment le catalogue le plus complet et le plus varié dans le domaine de l’Imaginaire. Il regroupe les plus grands noms de la Fantasy, du fantastique et de la science-fiction, dans toute la diversité de ces genres. »
J’avais vu pas mal de fois ce livre passe sur Instagram et le résumé était vraiment intriguant alors je me suis laissé tenté surtout avec la période d’Halloween mais au final, je suis déçu et j’ai même failli abandonner…
L’histoire manque tout simplement de rythme et cela n’est pas du tout effrayant au final. Je me suis vraiment ennuyée au cours de cette lecture. Les scènes traînent en longueurs.
Les personnages sont peu attachants, voire pas du tout.
J’ai trouvé certains passages plutôt choquant et malsain envers la sorcière…
Chose que l’on voit peu dans les films d’horreur mais en aucun cas je trouve cela effrayant. Je trouve cela plutôt déplacer.
La sorcière par contre est vraiment là pour effrayé la ville, pour donner un sentiment malaisant à ses occupants notamment lorsqu’ils ne sont plus dans la ville, ce que je trouve plutôt pas mal mais pour la fin je n’ai pas tout compris par contre.
On se pose pas mal de question qui vont dans l’ensemble rester sans réponse.
Cette malédiction doit rester un secret porté par les uniques habitants de la ville, pour éviter le risque que cela ne s’étende.
Il y a également beaucoup de personnages donc forcément on ne peut pas s’attacher à tout le monde.
En tout cas, je déconseille se roman, si vous le lisez pour de l’horreur ou du frisson.
C’est plus un roman qui dénonce le comportement des hommes face aux femmes.
Citation
« Les Delarosa se dévisagèrent en fronçant les sourcils. En d’autres circonstances, leur façon d’agir parfaitement synchrone aurait presque semblé comique. — Vous devez comprendre que la superstition était profondément enracinée chez ces populations, poursuivit Pete. N’oublions pas que nous avons affaire à des gens qui devaient survivre dans un milieu totalement inconnu, à une époque où il n’y avait pas la moindre sécurité. Ils avaient quitté l’Europe des épidémies, des mauvaises récoltes et des bandits, pour le Nouveau Monde, plein de bêtes sauvages et de démons. Personne ne savait quel genre de forces surnaturelles hantait les bois à l’ouest des colonies. Une situation pour le moins désagréable. Sans la science, ils n’avaient que des contes de bonne femme ou des signes auxquels se raccrocher. Ils craignaient Dieu tout-puissant et avaient peur du Diable. Ça a laissé des traces facilement reconnaissables sur les forêts environnantes – pensez seulement au nom de la colline derrière chez nous. »
Genre : histoires courtes, fantasy, dragons, littérature américaine et jeunesse.
Parution : Le 18 septembre 2019
Page : 320
Résumé :
Cela fait un an que l’Empire est tombé. Un an que le tyran Galbatorix a disparu. Après la victoire, Eragon a quitté l’Alagaësia en quête du lieu parfait pour entraîner la nouvelle génération de dragons à naître et leurs futurs dragonniers. Aujourd’hui, ses nouvelles responsabilités ne lui laissent aucun répit. Construire un nouveau refuge pour protéger les oeufs des dragons, abriter les précieux EldunarÌ, répondre aux demandes des différents peuples, gérer les querelles entre les Urgals belliqueux et les Elfes hautains… Le dragonnier ne connaît pas de repos. Trois histoires vont pourtant le distraire et lui permettre d’envisager l’avenir sous un nouvel angle. Bienvenue en Alagaësia !
Mon avis :
Christopher Paolini est un auteur américain réputé notamment pour son cycle « L’Héritage ». Il est le fils d’un écrivain et d’une ancienne institutrice qui ont fondée leur propre maison d’édition « Paolini International LLC » . Leur maison d’édition a été tout spécialement créée pour pouvoir publier le premier livre de la saga de « L’héritage » de leur fils. Dès l’âge de quinze ans, il commence un premier roman de Fantasy inspiré de « Dragon Hatcher » de Bruce Coville. En 2004, « Eragon », premier tome de sa série « L’Héritage » est publié et rencontre aussitôt un immense succès public partout dans le monde. Suivent deux autres volumes: »L’Ainé » et « Brisingr », et enfin un quatrième: « L’héritage »; reprenant ainsi le titre de la saga; qui clôt ce qui, à la base, devait être une trilogie. Une adaptation cinématographique du premier tome a également été réalisée avec un succès plus que mitigé.
Chaque année Bayard Editionspublie 270 nouveautés dans le secteur de la jeunesse : albums, petite enfance, documentaires, fiction et littérature. La diversité du catalogue illustre l’engagement historique de Bayard en faveur de la lecture et son attachement pour rester accessible à tous les publics. Des albums, des BD, des romans, des essais, des livres de poche… Aujourd’hui Bayard poursuit la complémentarité de son offre éditoriale et continue à développer une offre plurimédia originale au contenu minutieusement adapté à chaque enfant, selon ses capacités et ses goûts.
En finissant les Eragon, je me suis dit pourquoi pas lire la suite de la saga par se magnifique roman avec les pages dorés.
On a également un récapitulatif de l’héritage juste avant de découvrir notre lecture.
Dans se roman, on a trois nouvelles, trois légendes et de nouveaux personnages bien sur.
On retrouve des personnages connus, on en découvre d’autres, même si tout cela ne paraît qu’à peine effleuré.
Certains chapitres sont également très long, l’avant dernier notamment qui fait plus de 100 pages.. c’est très frustrant, j’ai du m’arrêter en pleins chapitres et je déteste cela.
Je reste quand même déçu du roman même si j’ai beaucoup la dernière histoire avec le dragon, une courageuse jeune fille qui va tout faire pour sauver sa famille au péril de sa vie.
Ah mon avis, il y aura une suite mais je ne sais pas quand, on a quelques indices dans les chapitres nous l’indiquant.
Citation
« Ilgra vit alors son père courir à travers le champ, la lance levée. Une lueur d’espoir s’alluma dans son cœur. Son père était le premier des Initiés. Peu de ses pairs étaient aussi forts que lui, et, même s’il était bien petit face au dragon, elle savait que son courage égalait celui des dieux. Quatre hivers plus tôt, un ours des cavernes affamé était descendu de la montagne en faisant des ravages. Son père l’avait affronté, un couteau dans une main et un gourdin dans l’autre. » « En effet… Bien que tu puisses reprocher à Brom de ne pas t’avoir enseigné correctement les termes de l’ancien langage. Eragon ne put s’empêcher de pouffer : – Peut-être. Mais rendre les morts responsables de ns bévues n’avance pas à grand-chose. L’herboriste lui jeta un coup d’œil pensif, sans que ralentisse le cliquetis de ses aiguilles : – L’âge t’a rendu sage, me semble-t-il. »
Ma note : 3/5
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Charly cherche constamment à devenir invisible, quelconque… Elle dit non à tout par crainte de devoir se montrer, d’exister et quelquefois même, de respirer. Mais au fond d’elle, brûle une flamme qui ne cesse de croître. Charly veut autre chose pour elle, elle veut devenir l’héroïne de sa propre vie et non plus vivre à travers celles des fictions qu’elle écrit. Tom, lui, a plein de regrets, il ne connaît pas le vrai bonheur. Et pourtant, de son côté, il vivait à mille à l’heure. L’argent, la gloire, le sexe, les addictions… faisaient partie de sa vie qu’il dévorait sans prendre le temps de l’apprécier, sans réaliser combien elle pouvait être précieuse, et sans se soucier des gens qui l’aimaient. Une collision, un tour de manège, un baiser au milieu d’une foule, une liste de défis… et tout va changer. Leur rencontre sera une chance de rédemption pour lui, et une occasion inouïe de se métamorphoser pour elle. Or, quand le destin s’en mêle, il faut bien plus que de la chance et des occasions. Il faut apprendre à danser sous la pluie, il faut accepter d’ouvrir les yeux, il faut combattre ses peurs et prouver à l’univers tout entier, comme à soi-même, son droit de vivre et sa légitimité à aimer et à être aimé, en dépit des actes passés ou de ce que nous sommes.
Mon avis :
Romane est une auteure française. Sous son véritable nom, elle publie en 2015 le premier tome de sa saga d’heroïc fantasy « Cœur de Lycahan » – aujourd’hui, la saga en 3 tomes est complète. Dans son roman «Jadis, je t’aime », elle allie sa passion pour Paris à l’amour, ses propres croyances et l’Histoire. Et elle embarque au XVIIe siècle avec Élise, sa « Princesse Rebelle, à bord d’un galion naviguant sur un océan Atlantique déchaîné. Romane a toujours au moins trois projets d’écriture en cours, elle vagabonde de l’un à l’autre au gré de son humeur et de ses envies. Elle n’a pas de genre à proprement parler ; romance dans tous ses sous-genres, fantasy, fantastique, dystopie, steampunk… elle expérimente.
En 2016, on lui diagnostique un cancer du sein. Des traitements lourds s’ensuivent et surtout, beaucoup de peur, de colère, d’incompréhension… L’écriture devient alors pour elle un refuge, une source de paix et de réconfort, une manière de se détacher de la réalité qui l’entoure. Aujourd’hui en rémission, Romane se sent reconnaissante et aime profondément la vie. Sa principale source d’inspiration masculine n’est autre que son mari, dont elle retombe amoureuse à chaque fois qu’elle prête ses traits à l’un de ses personnages principaux.
Ce n’est qu’en 2021 qu’elle décide de choisir ROMANE CLESSIE comme nom de plume afin de pouvoir dissocier sa vie familiale et professionnelle de sa vie d’autrice.
Situées dans le Sud de la France, les éditions CyPLoG reposent sur une ligne éditoriale basée sur la romance qui se décline en différents sous-genres :
Je remercie la maison d’édition pour l’envoi ainsi que pour leur confiance.
C’est pour moi un véritable coup de cœur pour cette lecture.
Au debut, je pensais à une histoire de romance banale que l’on voit beaucoup mais au final c’est bien plus que cela.
On parle de romance mais aussi de tellement plus que je ne peux pas dire car sinon cela spoil tout malheureusement. Mais je peux vous dire qu’il faut continuer jusqu’au bout pour comprendre pourquoi, il y aura un coup de cœur car c’est avec la partie 2 que l’on comprend tout.
On est tout simplement émue, bouleversé par l’histoire, le suspense est vraiment tenue jusqu’au bout.
On s’identifie facilement à Charly, une femme naïve, qui a très peu confiance en elle qui écrit des romans et qui adore les séries surtout games of thrones. Quand à Tom, c’est le bad boy que toute les filles adorent.
Les descriptions sont excellentes, nous permettant de bien imaginer les scènes.
J’ai adoré la plume de l’auteur et sa facilité à nous transporter dans son univers. Et on a très envie, nous aussi de nous faire des défis pour profiter encore plus de la vie.
Citation
« Qu’est-ce que je fiche exactement ? C’était quoi le deal déjà ? Je n’ai toujours pas de mode d’emploi.. et à vrai dire, je n’en veux pas. Je n’en veux plus. Pff! Je scrute le noir qui m’entoure, je ne sais même pas où je suis. Lorsque je ne suis pas avec elle, je perds toute notion du temps et de l’espace. Je suis totalement perdu. Quand elle est là, j’ai l’impression de tout savoir, d’être le roi du monde, d’être encore mon propre maître, mais.. lorsqu’elle n’est plus là, je ne suis plus rien. Rien du tout. »