L’appel de la foret

Écrivain : Jack London

Maison d’édition : Folio

Page : 208

Genre : nature, chiens, aventure, littérature jeunesse et littérature classique

Résumé :

Enlevé à l’affection de son maître, Buck devient chien de traîneau dans le Grand Nord. Il découvre la cruauté des hommes et la rude loi de l’attelage. Sa vie n’est plus qu’une course interminable entrecoupée de combats de chiens. Un nouveau maître gagne de nouveau sa confiance et son affection, mais son instinct sauvage se réveille… Buck pourrra-t-il résister à l’appel de la forêt ?

Mon avis :

Jack London, né John Griffith Chaney, est un écrivain, nouvelliste d’aventures, auteur de récits autobiographiques et d’essais. En 1897, il participe à la ruée vers l’or du Klondike. Il attrape le scorbut et est rapatrié en 1898. Ses expériences alimentent son inspiration. Il publie sa première nouvelle sur le Grand Nord, « À la santé de l’homme sur la piste » (1899). Le recueil « Le fils du loup » (1900) est un succès. Il se marie et sera le père de deux filles. En 1902, il part pour Londres et publie une enquête sociologique des taudis de l’East End, intitulée « Le Peuple de l’Abîme ». L’année suivante, il publie son célèbre « L’Appel de la forêt » (The Call of the Wild, 1903), qui connaît un succès foudroyant, vendu à six millions d’exemplaires. En 1904, « Croc-Blanc » (White Fang) est publié et connaît un lui aussi un grand succès.
En 1909, il est de retour en Californie et entreprend par la suite, un voyage autour du Cap Horn. En 1911, il publie « Le Mexicain ». En 1913, il publie des mémoires, « John Barleycorn, le Cabaret de la dernière chance » où il raconte sa lutte contre l’alcoolisme.

Folio est une collection de livres de poche des éditions Gallimard, créée en 1972.

Un classique qui me sort de ma zone de confort.

Un livre sur un loup nommé Buck, celui ci retrace l’incroyable destin de Buck qui par ailleurs, au fil de ses aventures, apprend à grandir. Il comprend qu’il va devoir se durcir s’il veut survivre dans ce décor violent où les hommes sont devenus des bêtes et où les chiens sont traités comme des esclaves.

La lutte de Buck pour sa survie dans le Grand Nord est pleine de sang et de larmes.

Jack London arrive encore une fois à émouvoir et passionner le lecteur.

Une histoire courte qui se lit très facilement et qui est accessible à tout âge.

Citation

« Chaque nuit, à neuf heures, à minuit, à trois heures du matin, ils faisaient entendre un chant nocturne, étrange et fantastique, auquel Buck était heureux de se joindre. Quand l’aurore boréale brillait froide et calme au firmament, que les étoiles scintillaient avec la gelée, et que la terre demeurait engourdie et glacée sous son linceul de neige, ce chant morne, lugubre et modulé sur le ton mineur, avait quelque chose de puissamment suggestif, évocateur d’images et de rumeurs antiques. C’était la plainte immémoriale de la vie même, avec ses terreurs et ses mystères, son éternel labeur d’enfantement et se perpétuelle angoisse de mort ; lamentation vieille comme le monde, gémissement de la terre à son berceau ; et Buck, en s’associant à cette plainte, en mêlant fraternellement sa voix aux sanglots de ces demi-fauves, Buck franchissait d’un bond le gouffre des siècles, revenait à ses aïeux, touchait à l’origine même des choses. »

Ma note : 2/5

N’hésitez pas à laisser un like ou un commentaire 🙂

Vous pouvez également retrouver mon avis sur mon instagram ici : https://www.instagram.com/emeline.d.c/

Publié par livres.emeline76

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis passionné de lecture, mais aussi de séries et de drama coréen.

Laisser un commentaire

Concevoir un site comme celui-ci avec WordPress.com
Commencer