
Auteurs : Laura Emann, Clarissa Rivière, Didier De Vaujany, Frédéric Livyns, Gab Stael, Callie J.Deroy, Violette Subros et Julie-Anne Bastard
Maison d’édition : Elixyria
Genre : recueil de nouvelles, fantastique, érotisme et automne
Parution : Le 30 octobre 2021
Page : 227
Résumé :
Recueil numérique gratuit Parfums d’automne est enfin disponible sur toutes les plateformes de téléchargement. L’occasion de découvrir huit de nos auteurs et leur plume, à travers des nouvelles de saison. Fantastique, horrifique, érotisme et plus encore… Très bonne lecture ! Avec Laura Emann, Clarissa Rivière, Gab Stael, Callie J. Deroy, Violette Subros, Julie-anne Bastard, Frederic Livyns et Didier De Vaujany !
Mon avis :
Laura Emann est auteure de romances contemporaines et fantastiques. Elle tire son inspiration d’un long séjour passé en Écosse, ainsi que des différentes rencontres que la vie lui a offertes.
Frédéric Livyns est très tôt attiré par le fantastique et s’y adonne avec passion depuis de nombreuses années. Il est l’auteur de plusieurs romans et recueils de nouvelles, tant pour les adultes que pour un lectorat plus jeune. On le retrouve également au sommaire de nombreuses anthologies consacrées à la SFFF. Il a été lauréat à trois reprises du prestigieux Prix Masterton dans la catégorie Nouvelles en 2012 avec Les contes d’Amy, (Sema éditions), en 2015 avec Sutures (éditions Lune écarlate) et en 2018 avec The dark gates of terror (Sema éditions) et a été élu en 2020 « Meilleur auteur francophone de fantastique de la décennie 2010 – 2020» par le Jury du Prix Masterton. Depuis 2017, il écrit des histoires fantastiques pour les enfants sous le pseudonyme de Livéric.
Il a également scénarisé le court-métrage The friend pour Cantina Studio, tourné à Paris en avril 2018.
Julie-Anne Bastard est une écrivaine française. Elle a débuté avec un recueil de nouvelles de Noël avec 18 autres auteurs chez Something Else édition et un quatre mains, « De miroir et d’amour » (2021), coécrit avec une amie belge rencontrée sur internet, JC Staignier. Son premier roman solo, « Mieux vaut tard que jamais », est paru chez BMR en août 2020 suite à un concours d’écriture gagné organisé par Librinova et BMR.
Violette Subros plus petite, elle engloutissait déjà les J’aime lire et les Chair de Poule, avant de s’attaquer aux sagas fantastiques. C’est pourtant bien plus tard, à l’aube de ses trente ans, qu’elle a commencé à écrire, pour coucher sur papier les histoires qui peuplaient ses rêves et ses longs trajets en train. Ce qui a débuté comme une distraction est rapidement devenue une passion, voire une addiction. Elle n’imagine plus sa vie sans l’écriture : la motivation qui la sort du lit le matin. De l’urban fantasy à la romance à suspens, en passant par les thrillers surnaturels et la science-fiction, Violette aime explorer les genres, les mélanger et flirter avec leurs limites.
Didier de Vaujany décide de replonger dans ses vieux manuscrits pour ressusciter ses lignes. « Le Crépuscule des Sirènes », premier volet d’une quadrilogie fantastique, est publié en 2013. Au-delà du projet Tryskellia, dont le Manuscrit Deuxième, « Le Berceau de la Pierre-Mémoire », a été édité en 2015, il est auteur de quelques nouvelles à l’ambiance Steampunk ou Fantasy.
Callie J.Deroy est mariée et maman de deux petites filles. Les livres, c’est un peu toute sa vie, elle est tombée dedans quand elle était toute petite. Elle est l’auteure de plusieurs romans et nouvelles, dont la plupart s’impriment dans le style qu’elle affectionne tout particulièrement : la romance fantastico-érotique.
Passionnée de littérature, grande dévoreuse de livres depuis toujours, Clarissa Rivière s’est lancée depuis quelques années dans l’écriture de nouvelles. Elle a d’abord choisi d’écrire des nouvelles fantastiques avant d’imaginer, pour s’amuser, puis par goût, des récits bien plus épicés et croustillants. Le domaine érotique est désormais son terrain de jeu littéraire préféré. Elle privilégie les ressentis des personnages, les ambiances, les émotions, tout en cherchant à capter la montée du désir dans des situations souvent insolites. Elle commence souvent ses histoires par des anecdotes réelles, issues de sa vie quotidienne, ses fantasmes se chargeant du reste. Clarissa Rivière a publié des nouvelles aux Éditions La Musardine, dans des recueils de la collection « Osez 20 histoires », aux Editions Dominique Leroy, aux Editions L’ivre-Book et aux Editions Numeriklivres
Gabrielle Staelens montre plusieurs nouvelles fantastiques à son professeur de français qui l’encourage sur cette voie. A partir de 2012, elle se relance dans l’écriture et rédige également des articles divers pour le web. Elle publie avec l’association Plumes d’Ocris, une nouvelle comique « Les confidences d’une starlette » (2012), puis commence à écrire dans un autre registre : SFFF. Elle a participé à plusieurs recueils ou anthologies. Elle écrit désormais sous le pseudonyme de Gab Stael et signe son premier roman fantastique : « Égrégore », en 2017 chez Rebelle.
Que dire de se recueil de nouvelles.. je l’ai lu pendant un challenge pour qu’il rapporte pas mal de points sinon jamais je ne l’aurais lu. Je suis désolé d’avance pour les auteurs de mon avis négatifs.
Déjà les histoires sont totalement hallucinantes. On est vraiment dans du fantastique pur et dur avec pas mal d’histoires qui ne veulent rien dire.
J’ai eu du mal à me plonger dedans.
Il y a également pas mal de scènes de scène donc je dirais qu’il est déconseillé au moins de 18 ans.
D’ailleurs, je ne verrais plus le capot d’une voiture du même œil mdr.
Enfin, si vous voulez le lire pour vous faire votre avis n’hésitez pas, il est gratuit et disponible à tous.
Citation
« Aucune déesse, encore moins celle de l’amour, ne peut tolérer qu’un homme la choisisse en second. Bien que ses sentiments envers l’architecte fussent sincères, ses instincts divins priment sur tout le reste. C’est donc animée par une rancœur comme seuls les roi de l’Olympe en connaissent, qu’elle a préféré tuer son amant. Pour se faire, elle n’a pas hésité à recourir aux moyens surnaturels que son rang lui accorde.
Guidée par un sentiment d’indifférence et d’avidité, elle lui reprend l’alliance et la passe à son annulaire. Puis, la belle Aphrodite s’en va satisfaite de pouvoir conserver, à tout jamais, son dû.
Qui aurait cru – qu’un simple savon – puisse bien nettoyer l’affront fait à une femme ? »
Ma note : 2/5
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