Le manuscrit inachevé

Ecrivain : Franck Thilliez

Maison d’édition : Fleuve noir

Parution : Le 3 mai 2018

Genre : thriller, suspense, policier, enquête et énigme.

Page : 526

Résumé :

Un manuscrit sans fin, une enquête sans corps, une défunte sans visage pour un thriller virtuose ! Aux alentours de Grenoble, un jeune a fini sa trajectoire dans un ravin après une course-poursuite avec la douane. Dans son coffre, le corps d’une femme, les orbites vides, les mains coupées et rassemblées dans un sac. À la station-service où a été vue la voiture pour la dernière fois, la vidéosurveillance est claire : l’homme qui conduisait n’était pas le propriétaire du véhicule et encore moins le coupable. Léane Morgan et Enaël Miraure sont une seule et même personne. L’institutrice reconvertie en reine du thriller a toujours tenu sa vie privée secrète. En pleine promo pour son nouveau roman dans un café parisien, elle résiste à la pression d’un journaliste : elle ne donnera pas à ce vautour ce qu’il attend, à savoir un papier sur un auteur à succès subissant dans sa vie l’horreur racontée dans ses livres. Car sa vie, c’est un mariage dont il ne reste rien sauf un lieu, L’inspirante, villa posée au bord des dunes de la Côte d’Opale où est resté son mari depuis la disparition de leur fille. Mais un appel lui annonçant son hospitalisation à la suite d’une agression va faire resurgir le pire des quatre dernières années écoulées. Il a perdu la mémoire. Elle est seule.

Dans le vent, le sable et le brouillard, une question se posera : faut-il faire de cette vie-là un manuscrit inachevé, et en commencer un autre ?

Avis :

Franck Thilliez est un romancier de policiers et scénariste. Il allie sa passion à son goût pour les thrillers pour donner naissance à son premier roman, «Conscience animale » (2002) suivi de « Train d’enfer pour Ange rouge » (2003), qui a été nominé au Prix SNCF du polar français 2004.
Il publie en 2005 « La Chambre des morts » (Le Passage), qui deviendra par la suite en 2007, le film éponyme d’Alfred Lot, avec Mélanie Laurent dans le rôle de Lucie Henebelle. À partir de là vont se succéder les thrillers mettant en scène Franck Sharko (« Deuils de miel », 2006), ou Lucie Henebelle (« La Mémoire fantôme », 2007). Il publie également des one-shots tels que « La Forêt des ombres » en 2006, « L’Anneau de Moebius » en 2008 et « Fractures » en 2009, mêlant psychiatrie, neuroscience et cinéma.
Mettant la barre toujours plus haut, Franck Thilliez décide de réunir ses deux inspecteurs fétiches, Franck Sharko et Lucie Henebelle dans une trilogie ayant pour thème la violence. Son premier opus, « Le Syndrome E », est publié au Fleuve Noir en 2010. Franck Thilliez est également scénariste.

C`est en 2012 que les éditions Fleuve noir, créées en 1949, décident de changer de nom pour Fleuve Editions. Cette maison d`édition est spécialisée dans le roman populaire, notamment policiers, d`espionnages ou d`anticipation. On peut notamment citer les séries San-Antonio et Perry Rhodan.

C’est le premier roman de Franck Thilliez que je lis et franchement, je crois que je vais lire tout ses romans.


J’ai été transporter dans son univers plusieurs fois car j’avais commencé à écouter son roman pendant le confinement puis n’ayant pas finis de l’écouter, je l’ai acheter et je ne regrette pas du tout. Je me suis même acheté « Il était deux fois ».


Le roman commence en parlant de Léane et de sa fille, et le drame tragique qui va se produire ensuite on rencontre V et V qui vont mener une enquête qui va conduire ensuite à Léane et son Mari.


J’en ai eu des frissons jusqu’au bout, c’était des montagnes russes, un peu comme pour Léane tout du long de l’histoire.


Il a tellement de chose à assimilé pour enquêter aussi et avancer dans le roman même si j’ai réussi à décoder la fin avant même qu’elle arrive d’ailleurs et j’aurais bien aimé savoir ce que va devenir également Roxane et une autre mais on en sait pas plus à la fin ce qui est dommage mais comme le dit le titre c’est un peu un manuscrit inachevé, on ne peut pas avoir les réponses à tout.


Et j’ai adorer avoir une énigme à la fin pour savoir qui a survécu.

Citation

« Ce n’était ni un homme ni une femme. Vic observa le visage qui paraissait flotter, les beaux cheveux blonds qui l’encadraient, les yeux occupant les cavités oculaires, sur lesquels les paupières retombaient à mi-hauteur.
Le torse n’appartenait pas à la même personne. Ni les mains. Pas plus que le pied gauche, la jambe droite, ou n’importe quelle autre partie de la « chose » que les policiers avaient devant eux. Car cette « chose » elle était tout, elle n’était rien. Une déconstruction autant qu’un assemblage de chair, de pièces rapportées et jointes les unes aux autres par des sutures de fil transparent, des agrafes, des vis. Malgré la grossièreté de l’œuvre inachevée, Félix Delpierre avait essayé d’embellir l’ensemble, avec des couches de fond de teint, du vernis rouge sur les ongles, des bijoux aux doigts, au cou. »

Ma note : 4/5

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Publié par livres.emeline76

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis passionné de lecture, mais aussi de séries et de drama coréen.

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