La chronique des Bridgerton

Ecrivaine : Julia Quinn

Maison d’édition : J’ai lu

Genre : Angleterre, saga familiale, romance, humour et romance historique

Parution : Le 6 janvier 2021

Page tome 1 et tome 2 : 730

Page tome 3 et tome 4 : 768

Page tome 5 et tome 6 : 768

Page tome 7 et tome 8 : 768

Résumé :

Très chers lecteurs, quelle saison ! Au rythme des bals et des réceptions, je vous ai narré le feuilleton haletant de la folle romance entre Mlle Daphné Bridgerton et Simon, le ténébreux duc de Hastings. Valses langoureuses, rebondissements cocasses et bagarres mémorables nous auront tenus en haleine jusqu’à l’épilogue d’un romantisme échevelé. Aurons-nous le temps de reprendre notre souffle ? Il est à craindre que non, car il se chuchote déjà dans Londres qu’Anthony, le frère de Daphné, serait décidé à convoler lui aussi. Hélas, l’élue a une soeur odieuse qui s’oppose catégoriquement à cette union en raison du passé libertin du vicomte. Cela nous promet bien des péripéties. Et comme il reste six Bridgerton à marier, votre dévouée chroniqueuse a de beaux jours devant elle. Ne perdez pas le fil, chers lecteurs, la saga ne fait que commencer !

Mon avis :

Julia Quinn est le pseudonyme de Julie Pottinger (née Cotler), auteure américaine de romances historiques.
Ses romans ont été traduits dans 13 langues et elle apparaît neuf fois dans la liste des bestsellers du New York Times.

Depuis 1958, les Éditions J’ai lu publient chaque année près de 450 nouveautés, s’inscrivant ainsi comme un acteur majeur dans l’édition de poche en France. La richesse de leur catalogue ainsi qu’une impressionnante palette d’auteurs français et étrangers répondent à l’ambition de J’ai lu d’offrir au plus grand nombre et à petit prix le meilleur de chaque littérature. Ainsi, autour de la littérature générale française et étrangère, J’ai lu vous invite à parcourir des univers variés, allant de la romance à la science-fiction, en passant par le polar, le document, le fantasme ou encore le développement personnel et l’ésotérisme.

Ayant beaucoup entendu parler de la série, je me suis dis avant de la voir, je vais d’abord lire le roman et j’ai bien fait même si je trouve que la série est bien adapté au roman sauf sur la fin qui est différente.

Pour les deux premiers romans, j’ai préféré le tome sur Antony que sur Daphné car Antony est vraiment un personnage mystérieux alors que Daphné est un personnage plus ouvert.

L’auteure nous plonge dès le début dans une ambiance mystérieux avec notre chère Lady Whistledown. Bien qu’il y est tout d’abord des histoires de mariages, on y découvre dans chacun des tomes différents personnages avec leurs complexes et leurs mystères et je trouve cela intéressant de les découvrir sur ce qui cloche au début avant le mariage.

Le premier tome, se concentre sur daphné qui veut absolument se marier et du coup être la première de sa famille à l’être.

La deuxième tome, centré sur Anthony qui veut tout simplement se projeter dans l’avenir. Au début des romans, on peut trouver cela un peu long car on y découvre le monde, les bals mais au fur et à mesure de l’histoire tout s’enchaîne et on y découvre les peurs de nos personnages et on a envie d’en savoir plus jusqu’à la fin.

J’ai apprécié faire la connaissance de Benedict et Colin, j’ai adoré découvrir encore plus les membres de la famille. J’adore tout simplement, l’histoire de Colin ainsi que sa femme. On ne peut qu’apprécier cette série qui nous plonge dans un décor addictif et plein de rebondissement.

Pour le troisième tome, on a une belle réécriture de Cendrillon avec son beau prince charmant, le bal masqué, coup de foudre et belle parole. J’ai eu énormément de mal avec le caractère de Bénédicte mais j’ai adoré le personnage de Sophie, qui est un personnage fort pour avoir subis tout ce qu’elle a eu dans sa vie.

Pour le quatrième tome, c’était sur que Colin allait finir avec la belle et tendre Pénélope. On a l’impression d’avoir l’histoire du vilain petit canard. Je trouve les deux personnages touchant, l’un voyageant et l’autre qui a envie de voyager et qui voyage grâce à lui. On en apprend plus sur la révélation sur lady Whistldown même si la série gâche un peu tout car on le sait déjà qui elle est dès la première saison.

J’ai beaucoup apprécié le cinquième tome avec Eloïse même si j’en attendais plus sur le personnage qui est dur envers elle et la j’ai les trouver moins héroïque. On a également le caractère fort de Sir Philippe, qui a énormément de mal à s’attacher suite à la perte de sa femme mais aussi d’autres personnes et aussi de ses terreurs d’enfants qui vont en faire voir à notre belle Eloïse. J’avoue avoir bien rigolé justement à causes des deux terreurs. J’avais aussi l’impression que Eloïse femme de la ville s’accommode un peu trop facilement à la vie à la campagne alors que tout le caractère du personnage aurait dû employer. Elle se laisse trop faire aussi avec sir Phillipe j’ai trouvé cela dommage. C’est un peu comme si elle était réduite en silence.


Et par contre je n’ai pas apprécié le sixième tome avec Francesca, je l’ai trouver mou et je me doutais qu’il allait y avoir encore des soucis.
Je l’ai trouvée trop longue et trop lente, avec une fin beaucoup trop rapide et des problématiques résolues sans que l’on ne sache trop pourquoi. On ne s’attend plus à grand chose à part que tout le monde soit bien casé et très heureux avec leurs partenaires et avec de nombreux enfants.

Ces deux romans sont plus centrés sur la romance que sur la famille par rapport aux autres tomes.

Le tome 7 avec Hyacinthe est plutôt sous formes d’enquêtes avec Gareth qui lui demande de traduire le journal de sa grand mère qui est en italien. Hyacinthe est quelqu’un d’assez particulier et qui est assez fofolle. C’est un personnage que j’ai beaucoup aimé. C’est beaucoup un jeu de chat et de la souris.

Pour le tome 8, Gregory il veut à tout prix trouver le grand amour, tellement qu’il va se persuader d’aimer n’importe qui surtout la fille, la plus convoitée de toute.

J’ai moins apprécié de personnage mais par contre j’ai beaucoup aimé le personnage de Lucinda qui est la meilleure amie de Hermione.

J’ai hâte de lire les derniers tomes avec des années plus tard et les chroniques de lady whistledown

Citation tome 1 & 2

« – Quatre frères vous permettent d’acquérir une éducation fabuleuse, assura-t-elle en enfonçant sont arceau.
– Toutes les choses que vous avez dû apprendre ! Etes-vous capable de mettre un oeil au beurre noir à un homme ? De l’étendre à terre ?
– Demandez à mon mari, répondit Daphné avec un sourire malicieux.
– Me demander quoi ? […]
– Rien, prétendit son épouse d’un air innocent. J’ai aussi appris, continua-t-elle à voix basse à l’intention de Kate, que dans certaines circonstances, il vaut mieux ne rien dire. Les hommes sont bien plus faciles à manipuler une fois que vous avez appris quelques faits élémentaires sur leur nature.
– Qui sont ?
Penchée en avant, Daphné murmura derrière sa main :
– Ils ne sont pas aussi intelligents que nous, ils ne sont pas aussi intuitifs que nous, et ils n’ont pas besoin de savoir la moitié de ce que nous faisons. Il ne m’a pas entendue, n’est-ce pas ? ajouta-t-elle en jetant un coup d’oeil autour d’elle. »

Citation tome 3 & 4

« Benedict comprit qu’il désirait cette femme.
Il la désirait follement, ardemment, passionnément. »
« Cela ne ressemblait à rien de ce qu’il avait vécu jusqu’à présent.
Cela s’appelait l’amour.
Et il avait bien l’intention de le protéger de toutes ses forces. »

Citation tome 5 & 6

« Puis il se tourna vers elle. C’est alors qu’Eloïse comprit. Cette expression perdue, ce regard dévasté…
Ce n’était pas contre ses enfants qu’il était furieux.
C’était contre lui-même. »
« Le lit était recouvert de fleurs. Des centaines de fleurs, donc certaines, qui n’étaient pas de saison, devaient provenir de la collection qu’il abritait dans sa serre. En pétales rouges sur fond de pétales roses et blancs, il avait écrit :
JE VOUS AIME »

Citation tome 7 & 8

« – Sauf que jamais il n’avait embrassé une femme comme Hyacinthe, à savoir une femme qui premièrement n’avait jamais été embrassée, deuxièmement avait toutes les raisons de s’imaginer qu’un baiser signifiait bien plus qu’un baiser. »
« Ce n’était rien. Elle n’était rien.
Non, il était injuste. c’était quelqu’un, et même quelqu’un de bien. Mais elle n’était pas pour lui. »

Ma note : 4/5

Vous pouvez également retrouver mes chroniques sur mon instagram ici : https://www.instagram.com/emeline.d.c/

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Publié par livres.emeline76

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis passionné de lecture, mais aussi de séries et de drama coréen.

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