Hex

Ecrivain : Thomas Olde Heuvelt

Maison d’édition : Bragelonne

Genre : malediction, horreur, sorcière, fantastique et terreur

Parution : Le 20 septembre 2017

Page : 550

Résumé :

Quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu’à la mort. Quiconque y vient n’en repart jamais. Bienvenue à Black Spring, charmante petite ville de la Hudson Valley. Du moins en apparence : Black Spring est hantée par une sorcière, dont les yeux et la bouche sont cousus. Aveugle et réduite au silence, elle rôde dans les rues et entre chez les gens comme bon lui semble, restant parfois au chevet des enfants des nuits entières. Les habitants s’y sont tellement habitués qu’il leur arrive d’oublier sa présence. Ou la menace qu’elle représente. En effet, si la vérité échappe de ses murs, la ville tout entière disparaîtra. Pour empêcher la malédiction de se propager, les anciens de Black Spring ont utilisé des techniques de pointe pour isoler les lieux. Frustrés par ce confinement permanent, les adolescents locaux décident de braver les règles strictes qu’on leur impose. Ils vont alors plonger leur ville dans un épouvantable cauchemar…

Avis :

Thomas Olde Heuvelt est un romancier et nouvelliste. Il a étudié la langue anglaise et la littérature américaine à l’Université Radboud de Nimègue et à l’Université d’Ottawa au Canada, où il a vécu pendant six mois. Il a écrit son premier roman, « De Onvoorziene » (2002), à l’âge de dix-neuf ans. Salué par la critique, son roman d’épouvante « Hex » (2013) est un succès traduit dans quatorze pays, et la Warner développe actuellement une série télévisée basée sur le roman.

« Le groupe Bragelonne, c’est l’histoire curieuse d’une bande de potes qui, en voulant partager leur passion, sont devenus le premier éditeur indépendant d’Imaginaire en langue française. Composée d’un seul label à sa naissance, la maison en comporte aujourd’hui sept, dans des genres aussi divers que l’Imaginaire (Bragelonne), les Comics (HiComics), la littérature (Hauteville), la bit-lit (Milady), la jeunesse (Castelmore), le manga (Mangetsu) ou encore le jeu. Les éditions Bragelonne, à l’origine du groupe, c’est plus de 550 auteurs venus de tous les horizons, qui forment le catalogue le plus complet et le plus varié dans le domaine de l’Imaginaire. Il regroupe les plus grands noms de la Fantasy, du fantastique et de la science-fiction, dans toute la diversité de ces genres. »

J’avais vu pas mal de fois ce livre passe sur Instagram et le résumé était vraiment intriguant alors je me suis laissé tenté surtout avec la période d’Halloween mais au final, je suis déçu et j’ai même failli abandonner…

L’histoire manque tout simplement de rythme et cela n’est pas du tout effrayant au final. Je me suis vraiment ennuyée au cours de cette lecture. Les scènes traînent en longueurs.

Les personnages sont peu attachants, voire pas du tout.

J’ai trouvé certains passages plutôt choquant et malsain envers la sorcière…

Chose que l’on voit peu dans les films d’horreur mais en aucun cas je trouve cela effrayant. Je trouve cela plutôt déplacer.

La sorcière par contre est vraiment là pour effrayé la ville, pour donner un sentiment malaisant à ses occupants notamment lorsqu’ils ne sont plus dans la ville, ce que je trouve plutôt pas mal mais pour la fin je n’ai pas tout compris par contre.

On se pose pas mal de question qui vont dans l’ensemble rester sans réponse.

Cette malédiction doit rester un secret porté par les uniques habitants de la ville, pour éviter le risque que cela ne s’étende.

Il y a également beaucoup de personnages donc forcément on ne peut pas s’attacher à tout le monde.

En tout cas, je déconseille se roman, si vous le lisez pour de l’horreur ou du frisson.

C’est plus un roman qui dénonce le comportement des hommes face aux femmes.

Citation

« Les Delarosa se dévisagèrent en fronçant les sourcils. En d’autres circonstances, leur façon d’agir parfaitement synchrone aurait presque semblé comique.
— Vous devez comprendre que la superstition était profondément enracinée chez ces populations, poursuivit Pete. N’oublions pas que nous avons affaire à des gens qui devaient survivre dans un milieu totalement inconnu, à une époque où il n’y avait pas la moindre sécurité. Ils avaient quitté l’Europe des épidémies, des mauvaises récoltes et des bandits, pour le Nouveau Monde, plein de bêtes sauvages et de démons. Personne ne savait quel genre de forces surnaturelles hantait les bois à l’ouest des colonies. Une situation pour le moins désagréable. Sans la science, ils n’avaient que des contes de bonne femme ou des signes auxquels se raccrocher. Ils craignaient Dieu tout-puissant et avaient peur du Diable. Ça a laissé des traces facilement reconnaissables sur les forêts environnantes – pensez seulement au nom de la colline derrière chez nous. »

Ma note : 1/5

Vous pouvez également retrouver mes chroniques sur mon instagram ici : https://www.instagram.com/livres.emeline76/

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Publié par livres.emeline76

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis passionné de lecture, mais aussi de séries et de drama coréen.

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