Hunger Games, la balade du serpent et de l’oiseau chanteur

Ecrivaine : Suzanne Collins

Maison d’édition : Pocket jeunesse

Genre : dystopie, survie, dictature, sciences fiction et adolescents

Parution : Le 20 mai 2020

Page : 604

Résumé :

Dévoré d’ambition! Poussé par la compétition Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix C’est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate. Mais le sort s’acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine. Dans l’arène, ce sera un combat à mort. Pour assouvir son ambition, Coriolanus parviendra-t-il à réprimer l’affection grandissante qu’il ressent pour sa candidate, condamnée d’avance ?

Mon avis :

Suzanne Collins est romancière et auteure de bandes dessinées. Diplômée à l’Université d’Indiana, elle a commencé sa carrière en 1991 comme scénariste de spectacles télévisés pour enfants. Elle a travaillé sur plusieurs émissions de télévision pour la chaîne Nickelodeon. Travaillant sur « Generation Oh ! », un programme de télévision jeunesse, Suzanne Collins rencontre les enfants de l’auteur James Proimos (1955). De là naît son envie de créer des livres pour enfants, concrétisée par l’écriture de la série « Gregor » (2003-2007). Elle connaît un immense succès international avec le premier tome de la trilogie « Hunger Games » (The Hunger Games, 2008), inspirée par le parcours professionnel du père de Collins dans l’armée de l’air. Il a été suivi par « L’Embrasement » (Catching Fire), en septembre 2009 et « La Révolte » (Mockingjay) en 2010. Ces romans ont été traduits en 51 langues. Le succès des livres déclenche une adaptation filmée sous la direction de Gary Ross. Le scénario est adapté du roman par Collins elle-même, et le tournage débute au printemps 2011, Jennifer Lawrence incarnant le personnage principal Katniss Everdeen, tandis que Josh Hutcherson joue Peeta Mellark et Liam Hemsworth a le rôle de Gale Hawthorne Suzanne Collins a réalisé un album autobiographique « Year of the jungle », évoquant l’envoi de son père comme soldat au Viet Nam quand elle avait six ans.

Créée en 1994, Pocket Jeunesse, le département jeunesse des éditions Pocket, est une maison d`édition tournée vers la littérature d`enfance et de jeunesse. Elle publie de nombreux best-sellers pour adolescents comme Hunger Games de Suzanne Collins ou encore Gone de Michael Grant.

J’avoue avoir eu beaucoup d’attente sur le roman et également vu beaucoup d’avis positif mais je reste mitigé même si j’ai quand même apprécié mais il me manque certain détail.

Franchement la saga hunger games est vraiment une saga chouchou et j’espère que comme la saga, il y aura un film sur le jeune Snow.

Dans ce tome comme je le disais, on rencontre un Snow qui semble plus « humain » que dans les précédents tomes et qu’on voit évoluer petit à petit dans l’histoire.

On peut également dire que les hunger games que l’on a là et celui que l’on connaît avec Katniss n’ont rien à voir, il est soft celui la mdr. Même si les districts sont moins bien traité cependant.

J’ai bien aimé le personnage de Lucy Gray, fort caractère, qui ne se laisse pas faire. Mais que je n’ai pas compris ce qu’elle devient exactement donc si jamais quelqu’un a compris dites le moi.

En tout cas, ce n’est pas un coup de cœur pour moi j’aurais voulu plus de détail sur la famille de Snow à la fin de l’histoire, on ne sait rien et du coup je suis perplexe.

Citation

« Dans la vallée, là, dans le lointain,
Tard dans la soirée, entends le train.
Le train, mon chéri, entends le train.
Tard dans la soirée, entends le train.
Le public, qui se dispersait déjà, s’arrêta pour l’écouter.
Bâtis une maison, haute comme une tour
Que j’puisse voir passer mon grand amour.
Le vois, mon chéri, voir mon amour.
Que j’puisse voir passer mon grand amour.
Tout le monde s’était tu à présent, les visiteurs comme les tribus. On entendait plus que Lucy Gray et le ronronnement de la caméra qui zoomait sur elle. Toujours assise dans son coin, elle avait la tête appuyée contre les barreaux. »

Ma note : 3/5

Vous pouvez retrouver ma chronique sur mon instagram ici : https://www.instagram.com/p/CDOscrbH1Kj/?igshid=16jvldn7uasii

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Publié par livres.emeline76

Bonjour, j’ai 23 ans, je suis passionné de lecture, mais aussi de séries et de drama coréen.

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